« Les OGM : Quel Défi pour le Paysan Sénégalais ? »
GROUPE WORLDLEADERSHIP 2000
“Groupe WLD 2OOO”
Cabinet de Conseil opérationnel d’assistance et d’accompagnement, de Promotion Economique et d’Entreprenariat
« Cabinet CPEE »
Développement Durable et Croissance
Economique Soutenue – DD/CES
Promotion
Socio-économique Soutenue et Entreprenariat Social et Sociétal pour un
Développement Humain Durable
FOIRE NATIONALE
ASSOCIATION SENEGALAISE DES
PRODUCTEURS DE SEMENCES PAYSANNES (ASPSP) / UNION DES COOPERATIVES
ECOLOGIQUEQUES DE TATAGUINE (UCEM)
THEME :
« Les
OGM : Quel Défi pour le
Paysan Sénégalais ? » Du
05 au 07 février 2013 à Koungueul – Région de Kaffrine /
Sénégal
Communication présentée
par :
Déthie diop
Expert Développement durable,
Biotechnologie et droit de la propriété
&
Babacar Ndiaye
Expert Développement durable et
croissance économique soutenue – dd /CES
Adresse: Scat Urbam
Grand Yoff N° T26, BP 37171 Dakar Grand Yoff / Sénégal
Tel: +221 77 597 28 63 /+ 221
77 539 47 35 / +221 76 679 70 23 / +221 70 780 83 28;
R.C: SN DKR – 2012 – A – 2191; NINEA: 004522589 E-mail: groupe.worldleadership2000@gmail.com
PLAN SOMMAIRE
THÈSE
ANTITHÈSE
SYNTHÈSE
CONCLUSION
PLAN
D’ACTION DE FORMATION CONTINUE, RENFORCEMENT DE CAPACITÉS ET D’EXPERTISES CROISÉES
Certes, l’Afrique de l’Ouest est
le Centre d’origine, il est vrai d’un grand nombre de cultures importantes
notamment le Centre primaires du sorgho et le Centre secondaire du niébé. Il
s’agit de zones éco-géographiques qui possèdent un matériel génétique unique et
très précieux, mais la promotion d’approches sectorielles et locales dans
l’optique de réaliser des synergies d’action sur des domaines prioritaires sur
le plan du Changement Climatique (CC) et
du Développement Durable (DD) à savoir une transition énergétique propre
fondée sur l’utilisation des ressources renouvelables et la Gestion raisonnée
des ressources bioénergétiques associées à la mise en place de programmes
garantissant la protection des espaces, des espèces et des modes de vie des
populations sénégalaises par exemple liés aux forêts africaines, fait
apparaitre un faisceau de convergence sur des actions intégrées à un spectre
relativement large d’horizons de défis que le paysan local a un impératif de
relever, dont un point focal la question des OGMs dans le monde rural sénégalais
et en particulier dans l’agriculture
africaine ?
Une analyse croisée des besoins
de développement des aires agricoles et de lutte contre le CC révèle une forte
synergie d’actions possibles dans cinq domaines tous bénéfiques pour notre
situation socioéconomique et cadrant d’avec la Règle MRV (Mesurable,
Rapportable et Vérifiable) dans l’agriculture, la construction et les bâtiments,
l’eau et l’assainissement, l’énergie et les forêts. Un Projet phare : le Projet visant
l’introduction du sorgho transgénique en Afrique de l’Ouest (Projet de Sorgho
Bio-fortifié / ABS – African Biofortified
Sorghum) existe depuis 2005. Il est dirigé par un Collège d’experts très
fort, des experts de la Firme Pioneer / Du Pont, la Fondation africaine pour les
technologies agricoles et l’Université Berkeley de Californie. Ce projet
financé par la Fondation Bill Gates vise l’amélioration de la qualité
nutritionnelle du sorgho par une teneur plus élevée en Vitamines A, E et D, en
fer et zinc. Il est prévu de faire des Croissements des variétés GM avec le
matériel local pour produire des variétés adaptées.
Le monde rural sénégalais doit – il en être le réceptacle ? Si
oui, dans quelle mesure ? Si non, pourquoi ?
Au fil de l’analyse articulée
autour de quelques repères, nous montrerons que les OGMs décrivent un faisceau
de réponses à un large spectre d’interrogation sur le devenir d’une agriculture
en mutation qu’il est possible de valoriser à la lumière des tabous et préjugés défavorables écartés
et mise en évidence autour d’un point de convergence et de focalisation à de
nouveaux défis de productivité – rendement et que quel que puisse être les
tabous et préjugés.
La solution de compromis semble
devenir s’imposer au paysan et passe par l’impératif de valorisation de la Réglementation
communautaire de promotion de la Propriété intellectuelle commune credo et du
droit qui à lui est associé comme socle, le cadre légal et réglementaire étant
en dernière analyse le Creuset fertile de promotion des OGMs et terreau d’une
imagination non moins fertile apte à permettre un juste équilibre dans
l’arbitrage de l’usage de ressources. A cette fin, la Loi 1996 – N°6 portant
Code des Collectivités locales, la Loi 64 – N°46 sur le Domaine national, le
Code de l’Eau (loi 81-13 du 4 Mars 1981), la Loi 98 – 03 du 8 janvier 1998 et
Décret 98 – 164 du 20 Février 1998, la Loi 86 – 04 du 24 Janvier 1986 et Décret
d’application 86 – 844 du 14 Juillet 1986, le Code de l’Environnement, le Code
de la Pêche maritime, le Plan d’action de lutte contre la Désertification, le
Plan National d’Action Environnementale (PNAE) sont 9 textes qui peuvent sous-tendre
la réponse à la question posée.
En effet ne promeut-on par une activité ou une biotechnologie en a précisant
le Cadre réglementaire ?
L’organisation administrative du
territoire sénégalais en chiffre, c’est 11 régions, 34 départements et 93
arrondissements et d’autres parts 11 régions, 67 communes et 320 communautés
rurales en 2008. Incluse dans un processus inachevé de reforme territoriale et
locale, le monde rural sénégalais pour une superficie de 197 161 Km2,
12030 Latitude Nord et 17030 Longitude Ouest, 500 Km de
côte, et un territoire baigné par 3 fleuves dont le Sénégal 1700 Km, la Gambie
750 Km et la Casamance 300 Km. C’est 20 000 000 d’ha de terre
cultivable. Sous ce prisme, la Conservation de la Biodiversité, les initiatives
dans le domaine de la bio-énergie, les inventaires forestiers, les aménagements
participatifs et la relance des activités génératrices de revenu font perler quelques
perspectives pour un regard nouveau sur les OGMs
Les OGMs, un Défi à relever par le Paysan sénégalais
Malgré tout le mal que les
engrais chimiques ont fait à nos terres, à la Santé humaine, en réduisant le
petit paysan à zéro ( 0), ils ne sont pas encore satisfaits des résultats
obtenus des magasins remplis de bidons de produits chimiques prêts à tuer la
population se multiplient un peu partout dans la sous région ! A coup sûr,
les herbicides font des ravages. N’est – ce pas là un argument massé qui plaide
pour la promotion des OGMs ?
Tant il est vrai que le recours
aux OGMs peut permettre de limiter les effets des Polluants Organiques
chimiques Persistants (POPs) sur la santé du paysan et sur la qualité des
cultures. En effet pour accomplir le processus de leur vie végétative, les
plantes ont besoin d’eau, de prés de 20 éléments nutritifs qu’elles trouvent
sous forme minérale dans le sol, de dioxyde de carbone (CO2)
apportée par l’air et d’énergie solaire précise à synthèse chlorophyllienne.
Les égyptiens durant des milliers d’années ont utilisés les riches limons
apportés par les crus du Nil pour enrichir et entretenir les sols.
Avec l’avènement de l’industrie
chimique, charbonnière et pétrolière au XIXe Siècle, sont apparues
des formes chimiques en dépit de leurs effets immédiats sur la Croissance. Les
engrais doivent apporter en juste
proportion :
1°) des éléments de base, azote
(N), phosphore (P), potassium (K). On parle des engrais tertiaires de type NPK
si les 3 sont associés. Si on parle
également des engrais binaires NP, NK, PK ou l’engrais simple, s’ils sont
constitués d’un seul de ces éléments N ou P ou K ;
2°) des éléments secondaires au
calcium (Ca), souffre (S), Magnésium (Mg) ;
3°) des oligo-éléments tels que
le fer (fe), le manganèse (Mn), le molybdène (Mo), le cuivre (Cu), le bore (B),
le zinc (Zn), le chlore (Cl), le sodium (Na), le Cobalt (Co), le Vanadium (V)
et le silicium (Si).
Au XXIe Siècle, 1% de
l’énergie consommée par les humains sert à produire de l’ammoniac produit qui
fournit la moitié de l’azote nécessaire à la fabrication des engrais utilisés
en agriculture. Les engrais organiques peuvent être synthétisés comme l’urée.
Des procédés, comme le Procédé Haber-Bosch, permettent de produire des Bulk-Blending à haute teneur chimique.
Les engrais minéraux sont
produits par l’industrie chimique ou par l’exploitation de gisement naturel de
phosphate et de potassium.
Les engrais organo-minéraux résultent
du mélange d’engrais minéraux et d’engrais organiques. Les matières organiques
azotées représentent généralement 25 à 50 % de produits finis :
● Azote (N) : l’urée (46 %
d’azote), le sulfate d’ammoniac (Sa, 21 % d’azote et 24 % de soufre),
l’ammonitrate (An, 33,5 % d’azote) et le nitrate de chaux (27 % d’azote et 26 à
28 % de chaux) ;
● Phosphore (P2O5) :
le super-phosphore simple (SSP 18 % de phosphore et 12 % de souffre) ou le
super-phosphore triple (TSP 46 % de phosphore) ;
● Potasse (K2O) :
la dose d’engrais est la quantité d’engrais est la quantité d’engrais à
apporter pour une certaine surface ou un certain nombre de plants. L’excès
d’engrais se montre pire que son manque.
Quelle quantité d’urée utiliser pour un champ de 500 m2 ?
Si la superficie du champ est de
500 m2, la quantité requise d’urée est 1 / 20 de celle requise pour
un hectare sont de 6,57 kg quand le paysan utilise un engrais 60/30 /30 au lieu
de 15 / 15 / 15, il aura appliqué :
-
Soit 2 fois trop de phosphore et de potassium (perte
économique et risques d’impacts sur l’environnement) ;
-
Soit seulement la moitié de l’azote nécessaire d’où
carence.
Or des semences OGM de Ricins Communis sur 1 à 5 ha permettent
d’avoir 30 tonnes de grains, soit 7 000 litres de biodiesel, mais surtout
500 tonnes de coques utilisables pour fabriquer 2 000 tonnes de bio-charbon,
avec une Efficacité énergétique de 80 %. Soit 20 % de plus comparé au charbon
de bois et 25 % de plus comparé au bois de chauffe, quand le temps de cuisson
passe de 8 heures de temps à 4 heures, le gain de temps et d’argent améliore le
revenu rural général faible sous nos latitudes.
Qui plus est l’élaboration de
tarifs de cubage à deux entrées (diamètres de référence, hauteur totale) pour
la détermination du volume total sur écorce jusqu'à une découpe de 3 Cm de diamètre
de 12 espèces ligneuses représentant 80 % de la surface terrée permet des
mesures d’atténuation mais la démultiplication par des semences croisées OGM
ricin / jatropha et autres espèces bioénergétiques permet un suivi de la
dynamique de végétation. La production de biodiésel pour les véhicules
multiservices (moulin, PTF / Plateforme multifonctionnelle, transports etc.).
Ainsi les OGMs apparaissent – ils comme une alternative crédible sous ce pour palier certain tare de
l’industrie chimique moderne.
Mais faut – il occulter quelques méfaits ?
L’épisode judiciaire relatif aux
traces d’OGM notamment de Soja RR, un OGM breveté par Monsanto pour résister à
son herbicide total dont l’Affaire du
Monsanto 810 peut laisser pressentir des épisodes judiciaires aux suites imprévues.
Toutefois la Loi du 8 Juillet 2009 portant Loi
d’orientation sur la Biosécurité apparait comme un organe apte à être un paravent
contre l’arrogance de quelques firmes multinationales qui ne daigneront se
plier aux exigences des politiques du pays hôte.
Synthèse
Il apparait que traiter ce sujet
du Défi des OGMs peut être un sacerdoce mais nous plaidons pour car la fin d’un
monde ne saurait être la fin de notre monde et les tares associés à la
mondialisation ne sauraient être un prétexte pour être à la traîne dans un
monde de globalisation marqué du sceau
de l’Innovation notamment les COV (Certificats
d’Obtention Végétale) aussi un savant dosage entre les exigences de la
Régulation communautaire alliée, à une
bonne gestion du champ du DPI (Savoirs
Endogènes, Patrimoine immatériel et Droit de la Propriété Intellectuelle) autre
finirait de faire du milieu paysan sénégalais, le terreau fertile de promotion
des OGMs, le Code de l’Eau par exemple, le creuset de gestion intégrées des
ressources (GIRE) du pays assimilant la production d’énergie par nos cascades
et le développement d’une économie qui la sous-tende par la promotion d’OVMs qui combattraient certaines espèces
nuisibles aux cultures et certaines algues nuisibles à la ressources eau (Salvinia molesta ).
Finalement les OGMs oui.
Si.
Et quelque fois non.
Quand les déterminants d’un Cadre
opérationnel de Veille peinent à être mis en place faute de moyens
logistiques !
Le transfert de l’information
agricole aux paysans sénégalais par valorisation de la Photothèque dans les
conservatoires (Collecte, Conservation et Exploitation), les Techniques et Savoirs
Endogènes, le Patrimoine immatériel et le Droit de la Propriété Intellectuelle dans
ce sens demeurent un créneau important à investir.
Plan d’Actions 2013
Code Réf: N° 0134 / BN / GWLD 2000 / 2012
Evaluation Financière
PLAN D’ACTIONS
|
||
TACHES
|
ACTIONS / Sites à Dakar
|
MONTANTS INVESTISSEMENTS
|
Tâche 1
Renforcement de Capacités
|
Environnement ;
Sécurité ; Sensibilisation.
Total 1 : 2
500 000 FCFA
|
100 000 FCFA / Personnes +
35 000 FCFA / mois pour la formation ponctuelle ; 50 000 FCFA
/ Personnes / Séminaire.
|
Tâche 2
Projet MDP (Nouvelles Technologies Propres de l’Environnement -NTPE)
|
Suivi Projets ;
Validation ; Sensibilisation.
Total 2 :
1 500 000 FCFA
|
150 000 ½ FCFA
acompte ; 300 000 ¼ Etude, Evaluation financière,
Réalisation, Suivi Evaluation.
|
Tâche 3
Audit et Diagnostic Environnemental, Efficacité Energétique et Mix
Energies Durables
|
Diagnostic
environnemental ; Visite et Rapport ; Sensibilisation ;
Formation.
Total 3 :
2 000 000 FCFA / Sites
|
200 000 ½ FCFA
acompte ; Spécification dans les contrats : Budgets à économie
partagée, Performance.
|
Tâche 4
Programme RSE (Responsabilité Sociale et Environnementale) / RSS
(Responsabilité Sociale et Sociétale)
|
Traitement des eaux ;
Gestion des déchets ; Pollution Air ; Sécurité incendie.
Total 4 : ???
|
3 000 000 ½ FCFA
/ Sites à Dakar ; Travaux ; Réalisation ; Essais / Mesure /
Analyse ; Suivi Evaluation.
|
Tâche 5
Audit de Conformité
|
Etude Documentaire ; Audits ;
Sensibilisation ; Formation.
Total 5 :
6 000 000 FCFA
|
1 500 000 ¼ FCFA
/ Site ; Pilote + Communication / Information + Conseil + Accompagnement
+ Essais et Analyse + Evaluation.
|
PLAN D’ACTIONS
|
||
TACHES
|
ACTIONS / Sites à Dakar
|
MONTANTS INVESTISSEMENTS
|
Tâche 6
PGES (Plan de Gestion Environnementale et Sociale)
|
Audits Energétiques /
Environnement ; Génie Conseil.
Total 6 :
5 000 000 FCFA
|
Des Champs en milieu
confiné ; 3 000 000 ½ FCFA : Test, Culture, Conseil, Suivi.
|
Tâche 7
ENR (Energies Nouvelles Renouvelables)
|
Ingénierie ; Théorie /
Pratique ; Projet.
Total 7 :
5 000 000 à 25 000 000 FCFA / Site
|
.65 000 ¼ FCFA /
Personne / Session ; Mensualité : 35 000 FCFA ; Etude et
Réalisation : 150 000 FCFA
|
Tâche 8
OGMs / OVMs
|
Formation ;
Sensibilisation ; Accompagnement ; Aspects juridiques ;
Information, Sensibilisation, Communication.
Total 8 :
4 750 000 FCFA / Séances
|
500 000 ½ FCFA
Infographie + 250 000 ½ Saisie et Réalisation +
1 750 000 ½ Films
et Sketches.
|
NB : Pour les Télécommunications notamment les réseaux
de données, les TNT (Télévisions Numériques Terrestres), les Nanotechnologies,
les ANS (Artificial Neural Systems) et autres activités de Pointe Appliquées et
Indications Géographiques, nous faire une saisie sur les TDR (Termes de
Référence) de technicité et de spécification.
Point
Focal Contacts Collège des Experts du Groupe WLD 2000 :
Mr. D. DIOP Expert
Développement Durable,
Biotechnologie et Droit de la Propriété
Tél : + 221 77 597 28 63
Fait
à Dakar, Sénégal, le 10 Décembre 2012
Le Responsable
Transversalité et Redéploiement d’expertise et de
compétences
Adresse: Scat Urbam
Grand Yoff N° T26, BP 37171 Dakar Grand Yoff / Sénégal
Tel: + 221 77 539 47 35 / +221
76 679 70 23 / +221 70 780 83 28;
R.C: SN DKR – 2012 – A – 2191; NINEA: 004522589
Banque: BRS Sénégal – SN125 01001
018030040106 33
IMF: Pamecas Grand Yoff Dakar N°21532; U-IMEC Liberté 6
Dakar N° 2320
E-mail : groupe.worldleadership2000@gmail.com
Notre Savoir – faire, Notre Stratégie du
Faire- Faire, Notre Approche Compétences (APC), Notre Approche Intégrée Droits
de l’Homme (AIDH), pour vous satisfaire.
MERCI
VIVEMENT A TOUS ET A TOUTES !
CORDIALEMENT.
Le Coordinateur
Collège des Experts
Transversalité
et Redéploiement d’expertise et de compétences
Production
et diffusion de connaissances dans la Recherche Développement
/ Recherche Action / Recherche appliquée
Développement
/ Multiculturalisme et Linguistique
Adresse: Scat Urbam Grand Yoff N° T26, BP 37171 Dakar Grand Yoff / Sénégal
Tel:
+ 221 77 539 47 35 / +221 76 679 70 23 / +221 70 780 83 28;
R.C: SN DKR – 2012 – A – 2191; NINEA: 004522589
Banque: BRS Sénégal – SN125 01001
018030040106 33
IMF: Pamecas Gd Yoff Dakar N°21532; U-IMEC
Liberté 6 Dakar N° 2320
E-mail : groupe.worldleadership2000@gmail.com
Notre Savoir – faire, Notre Stratégie du Faire- Faire, Notre Approche Compétences (APC), Notre Approche Intégrée Droits de l’Homme (AIDH), pour vous satisfaire.
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