CONFERENCE DES FEMMES DANS L'AGRICULTURE AFRICAINE
GROUPE WORLDLEADERSHIP 2000
“Groupe WLD 2OOO”
Zone
principale : Dakar /
Thiès
Code Réf.: N°014 / BN / GWLD 2000 / 2013
RAPPORT
INVITAION
FOIRE INTERNATIONALE DE L’AGRICULTURE ET DES RESSOURCES ANIMALES
(FIARA) – 14ème EDITION DU 05 – 18 Mars 2013
Conférence sur le thème : « Les Femmes dans
l’Agriculture Africaine : Nous sommes la Solution !» par
L’ONG International FAHAMU, Bureau Afrique de l’Ouest à Dakar
Jeudi, 14 Mars 2013 à 10heures, Salle Alioune Diop du CICES
Dakar, Sénégal
FIARA 2013 DAKAR / CNCR / ASPRODEB
REMERCIEMENTS
Le Groupe WLD 2000, notamment par son expert représentant Déthié DIOP et ses
expertes représentantes Mesdames Ndèye Agnès
DIOUF, Touty DIOUF et Dior SAMB, remercie le Bureau Afrique de l’Ouest à
Dakar de l’ONG Panafricaine FAHAMU de
notre Invitation à la Conférence sur le
thème : « Les Femmes dans l’Agriculture Africaine : Nous
sommes la Solution !» du Jeudi, 14
Mars 2013 à 10heures, Salle Alioune Diop du CICES Dakar, Sénégal - FIARA 2013
DAKAR / CNCR / ASPRODEB
Particulière,
notre félicitation adressée à Mr. Famara DIEDHIOU Chargé de Programme du Bureau Afrique de l’Ouest
de l’ONG Panafricaine FAHAMU à Dakar de sa disponibilité et de son assistance
pour une bonne participation des Expertes Représentantes du Groupe WLD 2000.
SOMMAIRE
I-
INTRODUCTION
II-
DEROULEMENT
DES TRAVAUX
III-
ANALYSE
TRANSVERSALE DE l’Expert du Groupe WLD 2000
IV-
ANNEXES
Annexe I : Rapport
FAHAMU de la Conférence
Annexe II : Liste
de Présence
Annexe III :
Note de Présentation sur les Activités et Expériences du Groupe WLD 2000
relative à la Conférence sur le
thème : « Les Femmes dans l’Agriculture Africaine : Nous
sommes la Solution !»
I- INTRODUCTION
Le Bureau Afrique de l’Ouest à Dakar de l’ONG Panafricaine
FAHAMU, dans le cadre
de la 14e édition de la Foire Internationale de
l’Agriculture et des Ressources Animales (FIARA 2013 DAKAR) a bien voulu nous inviter à la Conférence sur le
thème : « Les Femmes dans l’Agriculture Africaine : Nous
sommes la Solution !» du Jeudi, 14
Mars 2013 à 10heures, Salle Alioune Diop du CICES Dakar, Sénégal - FIARA 2013
DAKAR / Conseil National de Concertation et de coopération des Ruraux CNCR / Association
Sénégalaise pour le Développement à la Base ASPRODEB
Sempiternellement
à travers notre Volet DYNAMIQUE ET MOBILISATION FEMININS, L’Expert
du Cabinet CPEE / Groupe WLD 2000, Déthié DIOP, a accompagné nos Représentes
Actrices et Productrices dans le cadre de l’agriculture et le maraîchage les dames Ndèye Agnès DIOUF, Touty DIOUF
et Dior SAMB organisées dans le gie
takkou liggey.
Depuis 1996, le
Groupe WLD 2000 est impliqué dans la Sphère du Partenariat Public Privé à
toutes les réflexions nationales auprès des acteurs, des Groupements Féminins
de développement de la Société civile et du Secteur de la Production /
Transformation, décideurs et partenaires au développement autour des questions sur
le Développement Durable et de Croissance Economique Soutenue
(DD /CES) et la Lutte contre la Pauvreté Rurale.
II-
DEROULEMENT DES TRAVAUX
Pour une meilleure continuité, nous allons directement se
référer ci -dessous à l’Annexe I et II RAPPORT
FAHAMU DE LA CONFERENCE SUR LE THEME
LES FEMMES DANS L’AGRICULTURE
AFRICAINE : NOUS SOMMES LA SOLUTION !
Pour des raisons
stratégiques, le Groupe WLD 2000 s’était inscrit dans le Groupe de travail N°4 « Parole de
Femmes et Développement local » durant le
Forum d’échanges et découvertes au cœur des terroirs de Meckhé avec
la plupart de la liste des présents (tes) à cette Conférence. Le Groupe WLD 2000 intègre toujours
l’Approche Droits Humains dans sa Vision et tient toujours à prendre compte de
la satisfaction des besoins spécifiques et stratégiques des femmes et des
hommes dans ses résultats fixés (Cf. :
Les 10 Principes Directeurs du Groupe WLD 2000).
Pour les Experts Participants du Groupe WLD 2000, le Forum
d’échanges et découvertes au cœur des terroirs de Meckhé et la Célébration des
20 ans d’existence du CNCR étaient inscrits dans le Cadre de la 14e édition de la Foire
Internationale de l’Agriculture et des Ressources Animales (FIARA 2013 DAKAR)
qui a débuté avec le 4e Forum International PLANETE TERROIRS, Dakar – Sénégal 2013 ; Thème
Principal : « les Paysans et la Diversité des Terroirs d’Afrique
face aux Défis Alimentaires », Du Mardi 05 au Jeudi 7 Mars 2013 - CNCR /
ROPPA / Terroirs & Cultures International /UNESCO / FAO / Ministère de
l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt France / AFD France /
Ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural SENEGAL / Ambassade de
France au Sénégal / FIARA 2013 DAKAR / AGROPOLIS INTERNATIONAL.
III-
ANALYSE
TRANSVERSALE DE l’EXPERT DU Groupe WLD 2000
Titre :
DROIT DE PROPRIETE INTELLECTUELLE /
AGRICUTURE : L’Agriculture familiale africaine, une alternative optimale
aux régimes de Propriété Intellectuelle.
SOMMAIRE
GENERALITES
RESUME EXECUTIF
PROBLEMATIQUE
INTRODUCTION
I-
Les Dix (10) Conclusions d’une
Etude de Recherche d’évidences
II-
Illustration de l’Interaction entre
la Propriété Intellectuelle et le Développement Socio-économique
II
-1 Le Secteur de l’Agro-alimentaire
II
-2 L’Agro-industrie
III-
Le
Cadre juridique de la Propriété Intellectuelle : Un Elément de Régulation
de l’Agriculture Familiale Africaine
III
– 1 Un Socle de la Propriété Intellectuelle
et de l’Innovation Technologique
III
– 2 Le Creuset : L’Agriculture familiale
III
– 3 le Terreau : L’Imagination fertile de la Femme Africaine
IV-
CONCLUSION
Généralités
Sujet
au cœur des sujets abordés sous le prisme de l’agriculture dans le
Développement Durable (DD) et son enjeu
dans le Développement général. La Femme est au cœur du développement, pour ne
pas l’astreindre à être seulement au cœur de l’Agriculture africaine. En effet,
si elle n’existait pas il eût fallu l’inventer. Les mots pour camper le rôle de
la femme dans la Sphère sociale viennent difficilement à l’esprit de celui qui
veut vraiment saisir l’α et l’Ω de
la Mission sociale de la femme.
Résumé exécutif
Le
Secteur primaire, i.e. l’Agriculture
occupe une place privilégiée dans la structure des économies africaines et 71% de la Population active.
Mais le rôle prépondérant de la femme africaine dans l’Agriculture familiale
est biaisé par le cadre juridique (exemple
le Droit foncier) à l’image, des législations en vigueur qui ont tassé le
marché en diminuant les ressources qui leur sont allouées et en provoquant une
allocation exagérée de ressources à des secteurs du marché ou de la production
au détriment plus rationnel (Agriculture familiale). Ainsi, il y a « distorsions ». Ce qui est une
preuve d’inefficacité du Régime de Copyright généralement mis en œuvre
notamment dans les pays anglo-saxons et en France où l’Innovation technologique
et le Droit qui la protège sont administrés par le Ministère de l’Agriculture.
Problématique
Une
Etude de Recherche d’Evidences commanditée par la Firme Nokia sur l’efficacité
et sur l’efficience du système actuel de prélèvement des royalties du Droit
d’auteur or il est possible de supprimer ce système tout en augmentant les
revenus de toutes les parties prenantes (artistes, producteurs et les vendeurs
d’accès et ou de supports mobiles tels clés USB, Smartphone) et de même une
confusion entretenue par quelques lobby industriels et financiers dénient les
Obtentions végétales de leur Brevetabilité en les insérant au domaine de la
Propriété industrielle. Existe-t-elle toujours à ce domaine ? Si oui n’y a
t – il pas là une faveur pour les industriels et partant pour une prédation des
revenus de la femme agricultrice principale créatrice de richesse en
Afrique ? Si l’on sait que le droit consacré à la Propriété Intellectuelle
prend son origine dans le droit privé / public au fil du temps et de
l’évolution du domaine. Ce droit s’est structuré en deux branches dont une
couvre le domaine des Créations industrielles et celle Commercial. C’est le
droit de Propriété industrielle. Alors que l’autre couvre le domaine de la
Création littéraire et artistique ou Propriété Artistique. Ce droit est appelé
Droit d’auteur d’où l’entorse à la valorisation des produits de terroirs
relevant de l’Agriculture familiale rurale (Couscous
de Payenne, Couscous de Koul, Couscous de Ndia etc.) et les Savoirs
endogènes et Connaissances locales.
Introduction
« L’étape
de l’évolution de la protection juridique d’une invention ou innovation
détermine la valeur de celle-ci ». Ainsi, si on confond le droit de
Propriété Intellectuelle conféré à la Propriété intellectuelle française, il protège.
Les tribunaux seront dans l’impossibilité pratique et théorique de déterminer
de « justes dommages et intérêts » pour le titre violé or la femme
dans l’agriculture africaine à beaucoup de titres à préserver, de Savoirs
endogènes et de Connaissances locales à valoriser. C’est dire que la
construction d’un système de Propriété
intellectuelle mondiale que mène une juste lutte contre la contrefaçon mais
qui veille aussi à la Sauvegarde du Domaine
public pour un accès aux connaissances
et aux technologies aux fins de développement est essentiel pour faire
de la femme : La Solution de
l’Agriculture familiale africaine.
I-
Les Dix (10) Conclusions d’une Etude de
Recherche d’évidences
1.
Le revenu rural faible en général notamment
celui de l’Agriculture familiale rurale, impose de faire de la Propriété Intellectuelle
un facteur de production au même titre que le facteur culturel et le facteur
commercial.
2.
La faible efficience du système de prélèvement
de royalties du Droit d’auteur ne saurait être impactée sur ce revenu rural déjà
faible.
3.
Une politique de rupture dans la gestion
de la Propriété Intellectuelle doit être mise en œuvre ipso facto.
4.
Le sui generis doit être une modalité opérationnelle nouvelle de
production d’un droit nouveau qui n’a rien à voir avec le Domaine industriel ou littéraire et artistique dans lequel l’Obtention
végétale (Brevet d’Obtention Végétale -
BOV ou Certificat d’Obtention Végétale - COV, le TIRPAA sur les Droits paysans
et l’Homologation des Semences paysannes).
5.
La variation des combinaisons K/W qui
atteint une situation asymptotique à partir de laquelle la variation de K ou du W ne confère plus un
nouveau gain de productivité doit ouvrir une perspective à l’obtention
végétale.
6.
Le paramètre K/Savoir qui est
l’innovation tel que attesté dans la
thèse de l’auteur Römer sur « Le Résidu de Solow » doit être un
facteur porteur de nouveaux gains de productivité dans la fonction de
production en favorisant le Transfert de technologie.
7.
Le nombre de Certificat d’Obtention Végétale (COV) doit être un indicateur de
valorisation du PIB.
8.
L’indication géographique doit être le
corollaire à la valeur de l’obtention végétale et permettre au Conseil (Cabinet
CPEE / Groupe WLD 2000) et au Transfert de Biotechnologie entre l’ITA et la
Femme rurale d’être une réalité.
9.
L’Innovation a une haute exigence
en investissement, en publicité et en campagne de promotion. C’est pourquoi le Cabinet Conseil CPEE du
Groupe WLD 2000 doit être le relais incontournable pour le Schéma de
Financement de la Propriété Intellectuelle et du Développement de l’Innovation
du Groupe en cours de traitement imputé à l’Agence Sénégalaise pour la
Propriété Industrielle et l’Innovation Technologique (ASPIT).
10. La mise en œuvre d’un régime de Propriété Intellectuelle
adapté au cadre de l’Agriculture familiale africaine doit être effective.
II-
Illustration
de l’Interaction entre la Propriété intellectuelle et le Développement
Socio-économique
Les
deux secteurs de l’Agro-alimentaire et de l’Agro-industrie sont des secteurs d’avant-garde
pour la promotion de Droit de la Propriété Intellectuelle dans l’agriculture
familiale sur le plan local, national, sous régional, régional et international
(Cf. : Travaux Expert
Représentant du Groupe WLD 2000 à la Rencontre Internationale sur les
Coopératives -RIC 2011- dans la Perspective de 2012 Année Internationale des
Coopératives).
II -1
Le Secteur de l’Agro-alimentaire
Au
Sénégal, la préparation de vinaigre est souvent réalisée par simple dilution
d’acide acétique. Cette pratique est très répandue dans le secteur industriel à
travers une multitude d’ateliers artisanaux. Depuis 1999, un Décret
présidentiel rend obligatoire l’application de la norme NS 03 – 040 qui fixe
les qualités requises pour les produits commercialisés sous l’appellation
« vinaigre ». Selon cette norme, un vinaigre ne peut être produit que
par fermentation acétique d’un milieu
alcoolisé. Elle rend illégale la vente de vinaigre artificiel résultant d’une
simple dilution d’acide acétique. L’équipe du partenariat R & D a développé
un appareil et une technique de production de vinaigre par voie fermentaire. Le
procédé élaboré est accessible aux agricultrices et peut se substituer à la
pratique de la dilution par :
-
Le choix et l’adaptation de
procédé ;
-
La sélection de souches acétiques
africaines ;
-
Le choix et l’optimisation d’un milieu
de fermentation ;
-
La mise au point d’un protocole de
production d’une mère de qualité ;
-
Le choix d’un appareil de production.
II -2 Le Secteur de
l’Agro-industrie
Le Brevet confère le
droit d’interdire à tout tiers en
l’absence du consentement du propriétaire
du Brevet :
a)
La fabrication, l’offre, la mise dans le
commerce, l’utilisation ou l’importation ou la détention aux fins précitées du
produit objet du Brevet ;
b)
L’utilisation d’une preuve de l’objet du
Brevet ou de l’offre de son utilisation ;
c)
L’offre, la mise dans le commerce ou
l’utilisation ou bien l’importation ou la détention aux fins précitées du
produit directement par le procédé objet du Brevet, sont le droit exclusif
d’exploitation et la transmissibilité en partie en partie et / ou en
totalité.
Ainsi, le titulaire du
Brevet pouvant concéder des licences à des tiers, céder son Brevet ou
l’apporter en Société et permettre le développement de GIE, de Coopératives et
de Sociétés agricoles privées essentiellement féminines. C’est dire que par
l’Agro-industrie et par l’Agro-alimentaire, l’Agriculture familiale africaine
et la femme (Mme l’Agricultrice rurale, semi-urbaine et urbaine) au cœur et
à l’horizon K sont une Alternative crédible aux régimes de Propriété
intellectuelles existant et l’alternative ( à la femme) au régime existant.
La femme africaine est
bien ainsi au cœur du Développement économique et social par la Propriété
Intellectuelle.
III
- Le Cadre juridique de la Propriété Intellectuelle : Un Elément de
Régulation de l’Agriculture Familiale Africaine
Nos expertes
représentantes du GIE TAKKOU LIGGEY est le reflet de cette intégration du Droit
à l’activité agricole (rurale, semi-urbaine et urbaine). Ainsi, le
micro-jardinage côtoie aisément l’arboriculture et les aménagements
participatifs favorables à l’éclosion d’activités génératrices de revenu pour
la femme de la Zone urbaine et / ou péri-urbaine de Dakar. Isolées ou
pseudo-isolées, l’exploitation dont le GIE TAKKOU LIGGEY est le reflet d’abord
d’un cadre d’expression de la Propriété Intellectuelle.
III – 1 Un Socle de la Propriété
Intellectuelle et de l’Innovation
Technologique
Par son exclusivité et
sa transmissibilité, la Propriété Intellectuelle et l’Innovation Technologique
par le Droit qui les protège est un socle d’une Agriculture familiale africaine
durable.
III – 2 Le Creuset :
L’Agriculture familiale
Une réglementation
autorise un Droit de Propriété sur les semences des variétés protégées. Elle a
été promue à l’échelle de la région par l’OAPI qui couvre 16 pays. La loi de
l’OAPI permet aux organises de recherche et aux entreprises nationales et
étrangères de détenir un droit sur la variété et ils peuvent interdire aux
agriculteurs la reproduction des semences, des plantes de leur champ ou
l’autoriser en échange du paiement d’une taxe (les royalties). La plupart des
variétés « améliorées » de la recherche ou des entreprises privées
viennent de variétés paysannes collectées chez l’agriculture. Le Catalogue Ouest – africain des espèces
et variétés végétales est l’album de l’Agriculture familiale africaine. Il
oblige à enregistrer toutes les variétés dans un Registre Commun.
III – 3 le Terreau :
L’Imagination fertile de la Femme Africaine
Le cercle de la Femme
africaine lion d’être restreinte reflète l’onde porteuse de cercles
concentriques qui lui permettent de mettre le petit plat dans les friands. Surtout
quand les vielles marmites savent plus que jamais faire de bonnes sauces.
IV
– CONCLUSION
Non plus à 50% mais à
80%, la femme apparait comme la solution dans une Agriculture africaine en
devenir.
IV- ANNEXES
Annexe I : Rapport
FAHAMU de la Conférence
CAMPAGNE
FEMININE PAN AFRICAINE
NOUS
SOMMES LA SOLUTION CELEBRONS L’AGRICULTURE FAMILIALE AFRICAINE
RAPPORT DE LA CONFERENCE SUR
LE THEME
LES FEMMES DANS L’AGRICULTURE
AFRICAINE : NOUS SOMMES LA SOLUTION
Mars 2013
Contexte
Lancée en 2011, la campagne Nous sommes la Solution/Célébrons l’agriculture familiale
africaine est portée par des
femmes rurales leaders et leurs associations au Burkina Faso, au Ghana, en
Guinée au Mali et au Sénégal, avec l’ambition de couvrir l’Afrique.
La campagne NOUS SOMMES LA SOLUTION a pour objectifs de:
-
Promouvoir
les bonnes pratiques et savoirs agricoles qui sont connus et transmis pendant
des générations en Afrique et qui ont permis aux femmes rurales d’assurer la
souveraineté alimentaire dans leurs communautés et préserver la
souveraineté alimentaire sur le continent
-
Influencer
les décideurs et promouvoir une meilleure gouvernance dans le développement
agricole et
-
Valoriser la
production de l’agriculture familiale
A l’occasion de la FIARA[1] 2013,
les associations membres de la campagne ont organisé une conférence ce 14 Mars
2013 au CICES. La conférence est intitulée les femmes dans l’agriculture
africaine : nous sommes la solution. L’objet de la conférence
était d’informer et débattre/échanger avec les producteurs, les experts,
organisations de producteurs, techniciens de divers horizons et journalistes
sur certaines thématiques : la semence, l’agricultrice africaine, la terre
agricole et l’agro écologie pour la souveraineté alimentaire.
Sous la modération de Mme Awa
Fall Diop[2], quatre
communications ont été présentées par quatre femmes rurales leaders du Mali, de
la Guinée, du Burkina Faso et enfin du Sénégal en présence de M Souleymane
Bassoum[3], expert
en Agro Ecologie.
Plus de 100 participants (Cf.
feuille de présence) ont pris part à la conférence.
Pour cadrer le contexte de la
conférence, M. Famara Diédhiou, chargé de Programme à Fahamu, a présenté
l’historique et les objectifs de la campagne. Ensuite, les communications sont
présentées en deux blocs de deux, laissant entre elles des plages de débats,
contributions, questions et commentaires. Enfin, l’expert a fait une synthèse
et un appelle pour une visibilité et une expansion de la campagne au niveau
national.
Contenu des Communications
Enjeux et Processus de la
campagne nous sommes la solution :
L’échec des nouvelles
politiques agricoles adoptées dans les années 80 n’a pas entraîné des ruptures
stratégiques. Les pays africains font face à de nouvelles offres de politiques
agricoles, mais elles s’inscrivent dans les mêmes logiques, pour des
conséquences identiques : désintégration des systèmes de production, de la
biodiversité, installation d’une dépendance des cultivateurs sur les
multinationales de semences, etc. Entre
autres acteurs de ces politiques on a aujourd’hui AGRA, Monsanto, etc.
Entre 2006 et 2009, les plateformes d'agriculteurs
Africains (ROPPA, PROPAC, COPAGEN, …) se sont concertées en développant des
stratégies pour résister à ces politiques et ont proposé des mécanismes
alternatifs pour promouvoir la souveraineté alimentaire.
La campagne "Nous Sommes La Solution, Célébrons
l'Agriculture familiale africaine" est née de cette mobilisation. Elle
fait partie de l’initiative africaine Alliance pour la Souveraineté Alimentaire en Afrique (APSA).
Les
associations de femmes africaines mènent une campagne autonome mais intégrée à
la campagne globale, dont elle épouse les objectifs.
La
campagne féminine est supportée par l’ONG Pan Africaine Fahamu (www.fahamu.org)
La première communication est intitulée Rôle des femmes dans
la production agricole des exploitations familiales et présentée par
Mme Yah Diakité, de l’Association Malienne pour la Sécurité et la Souveraineté
Alimentaire (AMASSA), Mali.
Après avoir brièvement présenté AMASSA et ses
activités de facilitation de la production et du commerce des céréales ;
son exposé a dans un premier temps rappelé la structure de l’agriculture
africaine en mettant en exergue la contribution de chaque membre de
l’exploitation agricole familiale. Dans un deuxième temps, le fardeau porté par
la femme rural a été détaillé en opposition à son faible accès aux ressources
et intrants de productions. Enfin, elle a lancé un appel pour des changements
radicaux dans la répartition des ressources et l’accès équitable à celles-ci en
interpellant les décideurs en particulier.
La deuxième communication est
l’œuvre de Mme Fanta Condé, de l’Association Guinéenne pour la l’allègement des
charges Féminines (AGACFEM).
Tout d’abord, elle a renforcé les propos de sa
sœur du Mali en ce qui concerne l’apport considérable de la femme dans
l’exploitation agricole familiale en donnant le cas concret de la guinée
forestière. Ensuite, elle a exposé l’objet principal de sa communication :
La souveraineté alimentaire par les
femmes grâce à l’agriculture traditionnelle
Appartenant à une zone où
recevant 9/12mois de pluie, Mme Condé a émerveillé l’assistance par l’exposé
des techniques culturales qui ont préservées la souveraineté alimentaire depuis
toujours en guinée forestière. Les semences paysannes, l’usage de compostière
et la rotation culturale, sans intrants de synthèse (engrais et pesticides)
permettent à toutes les familles de subvenir à leurs besoins alimentaires. Elle
a insisté sur la jachère, l’épandage du compost et/ou du fumier et la rotation
culturale pour dire que ce sont des pratiques qui maintiennent la terre en vie,
maintiennent la santé des aliments et celle de la Femme. Pour finir elle
appelle ses sœurs guinéenne et africaine à joindre la campagne NOUS SOMMES LA
SOLUTION car la cause est noble, facile et durable.
Mme Rahamata Laetitia Koudougou
de la Fédération Nationale des Organisations Paysannes (FENOP), Burkina Faso, a
présenté la troisième communication. Elle a porté sur l’accaparement des terres et la
souveraineté alimentaire.
Pays majoritairement aride,
Rahamata a d’abord présenté le RESACIFROAT et la FENOP, les deux organisations
qui portent la campagne dans son pays.
Ensuite, elle a partagé le
concept d’accaparement des terres ainsi que les principaux acteurs en jeu. Deux
cas concrets ont capté l’attention de l’assistance. D’une part, l’accaparement
des terres par les sociétés minières dans la zone aride du pays. Ici, les
producteurs sont déplacés avec des impenses qui ne comblent jamais la fracture
sociale créée. D’autre part, l’aménagement de terres très propices à
l’agriculture par l’Etat. Les exploitants traditionnels bénéficient de terres
marginales, et les meilleures terres sont cédées à des « investisseurs
agricoles ». Rahamata a posé à l’assistance la question suivante « si ces soit disant investisseurs agricoles
sont aussi puissants qu’ils le prétendent, pourquoi ne vont-ils pas dans les
zones arides et créer les conditions de rentabilité ? »
Mariama Sonko, de l’Association
des Jeunes Agriculteurs de la Casamance (AJAC/Lukaal) a présenté la 4ème
communication. Elle est intitulée Les femmes dans la conservation des semences en pays
Diola
Mariama a partagé une expérience
traditionnelle dans la sélection et l’usage des semences au Sud du Sénégal.
Quelles sont les graines qu’il faut prélever à partir des casiers rizicoles
pour en faire une semence ? Quelles sont les semences adaptées aux zones
salinisées ? Quelles sont les semences adaptées aux terres pauvres ?
Elle a aussi fait part du mode sécurisation des cultures et de réduction des
risques en milieu Diola : l’ensemble de l’exploitation familiale est
constituée de plusieurs casiers souvent très distants les uns des autres. Cette
stratégie serait appliquée pour qu’au cas où une calamité survient sur une
zone, que les autres soient épargnées pour assurer le minimum. Elle a expliqué
le lien sacré qui existe entre le paysan diola et la semence de riz et surtout
que le grenier est un synonyme de richesse dont la disparition pourrait faire
perdre sa dignité au propriétaire.
Les 4 exposés en français,
traduits en wolof par la modératrice ont permis un débat très riche dans la
salle. Plus de 25 intervenants, majoritairement en guise de contribution :
- Le problème foncier évoqué par Rahamata est le même que nous vivons actuellement dans la zone des Niayes avec la société minière MDL et les ICS ;
- Les bonnes terres sont souvent destinées aux hommes
- Les femmes ne connaissent pas assez les lois foncières
- Les thématiques et les questions soulevées doivent être diffusées à la base notamment au Nord du Sénégal près de la vallée
- Il y a le réseau des femmes semencières qui fait le même travail, il serait bien d’unir les forces
- La Fédération Nationale pour l’Agriculture Biologique (FENAB) est heureuse d’apprendre une initiative pareille et est prête a nouée une alliance
- La SOLUTION doit arrivée chez nous, il ne faut pas se limiter aux deux organisations
- Ce que la campagne défend ne doit pas se limiter en campagne, c’est également un problème des femmes et populations urbaines
- Nous aimerions connaître la variété de patate douce qui fait trois mois en Guinée
- Est-ce que AMASSA peut nous partager leur expérience de commerce des produits céréaliers car l’accès aux marchés est également une préoccupation ?
- Etc.
Après une synthèse des réponses,
des contributions de la modératrice, la parole a été remise au Point Focal de
la Campagne au Sénégal. Parlant au nom de ses homologues des autres pays (Mali,
Guinée, Burkina Faso et Ghana), M Bassoum a d’abord salué les efforts des
membres de la campagne et surtout de l’initiative. Selon Bassoum l’humanité ou
l’agriculture industrielle est aujourd’hui consciente de son erreur. Elle veut
recommencer en prenant la voie de l’agro écologie. C’est l’occasion pour les
praticiens et défenseurs de l’agro écologie de prendre le devant, car ils sont
déjà sur la voie.
Ensuite, il a appelé l’assistance
à donner à l’agriculture de la valeur :
- L’agriculture s’apprend, ça ne s’hérite pas
- Considérer l’agriculteur comme tout autre professionnel qui vit de son métier
Aussi, il a demandé d’apporter
l’argumentaire à un niveau plus haut notamment en ce qui concerne la terre. Il
ne faut pas seulement demander d’arrêter les spéculations, mais il faut plutôt
dénigrer les facilités (exonération de taxe sur l’eau, la terre, les
intrants….) qui sont offerts à ces « investisseurs agricoles ».
Enfin, Le point Focal a demandé à
toutes et tous ceux qui veulent joindre la campagne de s’approcher de Mariama
Sonko (AJAC) pour la zone Sud et/ou de Fatou Binetou Diop (UGPM) pour la zone
centre et nord
C’est sur ces mots que la séance
fut levée donnant la place aux interviews pour les médias en présence.
Annexe II : Liste
de Présence
FIARA 2013, salle Alioune Diop, le 14 Mars
PARTICIPANTS A LA CONFERENCE : LES FEMMES DANS L’AGRICULTURE
AFRICAINE : NOUS SOMMES LA SOLUTION !
N°
|
Prénom
et Nom
|
Organisation
|
01
|
Mariama Diouf
|
GIE Djab Thialel
|
02
|
Massamba Dieng
|
HWA Sénégal
|
03
|
Fatemata Condé
|
Agricole
|
04
|
Kenya Keïta
|
Agriculture
|
05
|
Marie Oularé
|
Agricole
|
06
|
Aïssatou Diaby
|
New Field
|
07
|
Tabara Ndiaye
|
New Field
|
08
|
Souleymane Bassoum
|
Point Focal (WAS)
|
09
|
Gora Ndiaye
|
Jardins d’Afrique
|
10
|
Dethié Diop
|
Groupe WLD 2000
|
11
|
Ndeye Agnes Diouf
|
Groupe WLD 2000
|
12
|
Touty Diouf
|
Groupe WLD 2000
|
13
|
Dior Samb
|
Groupe WLD 2000
|
14
|
Josette Loukianoff
|
Jardins d’Afrique
|
15
|
Djibi Ka
|
DIRFEL
|
16
|
Awa Thiandoum
|
REFABEC
|
17
|
Fatim Sow Fall
|
REFABEC
|
18
|
Maguette Diop
|
UGPN
|
19
|
Maguette Ndiaye
|
UGPN
|
20
|
Aby Tall
|
PAFA/Niébé
|
21
|
Marthe Pires
|
DIRFEL
|
22
|
Mamadou Diatta
|
APAD
|
23
|
Mamadou Cissé
|
|
24
|
Aliou Sow
|
Radio Communautaire
|
25
|
Maïmouna Sene
|
URAC/Sénégal
|
26
|
Aïssatou Diop
|
ADAK
|
27
|
Satou Faye
|
FONGs
|
28
|
Fatou Samba Ndiaye
|
NAWFA/Gambie
|
29
|
Mamadou Sarr
|
Jeeri FM
|
30
|
John Saba Kanté
|
AFTET
|
31
|
Djibril M Bassène
|
AFANCOS
|
32
|
Mariama Diémé
|
APANEWS
|
33
|
Maïùouna Ka
|
UNCES
|
34
|
Mariama Ly
|
APANEWS
|
35
|
Sokhna Nafissatou Manga
|
REFABEC
|
36
|
Oulimatou Ly
|
Pr/CRCR St Louis
|
37
|
Marème Sy
|
DIRFEL
|
38
|
Aissatou Sy
|
UJAR
|
39
|
Dieynaba Sy
|
UJAR
|
40
|
Marie Thérèse Niane
|
FADEF
|
41
|
Benoit Lecomte
|
GRAD-S
|
42
|
Aliou B Badji
|
Société SENO
|
43
|
Molo Ba
|
Société SENO
|
44
|
Bintou Sané
|
GIE DIMIIIE
|
45
|
Mariama Diédhiou
|
Entente Diouloulou
|
46
|
Lawel Ka
|
Collège des jeunes du CNCR ; Eleveur
|
47
|
Habibou Coulibaly
|
AFIA Agriculture
|
48
|
Diahate Gueye
|
Bollo Siggil Djiguèn
|
49
|
El Hadj Seck
|
EBDS
|
50
|
Alassane Souaré
|
CCIAZ
|
51
|
Pierre Samba Tine
|
CCMH
|
52
|
Madieng Seck
|
SYFIA
|
53
|
Mamadou lamine Camara
|
A
|
54
|
Malick Sow
|
FAPAL
|
55
|
Ibrahima Seck
|
ASPAB/FENAB
|
56
|
Wamar Touré
|
FIARA
|
57
|
Landing Diémé
|
FEPROBA
|
58
|
Codou Fall
|
UGPM
|
59
|
Kara Thioune
|
WADR
|
60
|
Aida Niang
|
UGPM
|
61
|
Daouda Gaye
|
Trade FM
|
62
|
Fatou Bodian
|
CAC
|
63
|
Meissa Ndiaye
|
REFABEC
|
64
|
Serigne Mor Fall
|
PAFA
|
65
|
Cheikh Tidiane Diallo
|
|
66
|
Lamine Kane
|
Direction des Parcs
|
67
|
Ngoné Camara
|
FIARA
|
68
|
Ndeye Seye
|
FONGS
|
69
|
Ndeye Gueye
|
FONGS
|
70
|
Ndeye Sarr
|
FONGS
|
71
|
Dida Dicko
|
FNGPF
|
72
|
Déguène Mbodj
|
UNCAS
|
73
|
Ramata Niasse
|
CCPA
|
74
|
Corka Diaw
|
FONGS
|
75
|
Fatimata Sy
|
USE
|
76
|
Alioune Faye
|
SPI
|
77
|
Mariama Diémé
|
FONGS
|
78
|
Mohamet Ouattara
|
Afrik Welt
|
79
|
Famara Diédhiou
|
Fahamu
|
80
|
Fatou Bousso
|
Fahamu
|
81
|
Tidiane Kassé
|
Fahamu
|
82
|
Yah Diakité
|
AMASSA/ Mali
|
83
|
Aïda Niang
|
UGPM;
|
84
|
Codou Fall
|
UGPM
|
85
|
Fanta Sagna Sané
|
CORD/B/AJAC;
|
86
|
Rahamata LKoudougou
|
FENOP; Burkina Faso
|
87
|
Mariama Sonko
|
AJAC Lukaal
|
88
|
Fatou Binetou Diop
|
UGPM
|
89
|
Mariama Tendeng
|
USOFORAL;
|
90
|
Fanta Condé
|
AGACFEM; Guinée
|
91
|
Ndeye Nogaye Diagne
|
Ngaye FM
|
92
|
Liliane Gisèle Fall
|
Sud Fm Ziguinchor;
|
93
|
Awa Fall-Diop
|
Consultante indépendante
|
Annexe III : Note de Présentation sur
les Activités et Expériences du Groupe WLD 2000 relative à la Conférence sur le thème : « Les Femmes dans
l’Agriculture Africaine : Nous sommes la Solution !»
Présent dans la Société civile de l’Education et du développement, le Groupe WLD
2000 a participe dans les travaux suivants :
Þ Expert
Consultant et Secrétaire Général de l’Association écologiste BIOFORCE – VB à la 3ème
Edition de la
Foire Sous - régionale des
Semences Paysannes de l’Association
sénégalaise des producteurs de semences
paysannes (ASPSP)
Thème : « la
conservation des semences
et des récoltes »
LIEU :
village de Djimini, Département de
Vélingara, Région de Kolda / SENEGAL
Période : Du
Samedi 19 au mercredi 23 Novembre 2011
Expert
Membre du Groupe de travail «
Femme et Foncier : Accès des femmes à la terre » / 3ème Edition de
la Foire Sous - régionale des
Semences Paysannes de Djimini,
édition 2011.
BIOFORCE-Volontaires
pour la Biodiversité (BIOFORCE-VB) est une association à but non lucratif de
conservation de la biodiversité et des sols reconnue officiellement, sous le
récépissé n°09593 du 21MAI 1998 MINT/DAGAT/DEL/AS.
BIOFORCE-VB
s’est engagée depuis sa création en 1996 contre les OGM l’érosion de la
biodiversité, le changement climatique, la déforestation et la désertification.
SIEGE
SOCIAL : Cité SICA –MBAO VILLA
N°56 DAKAR - PERMANENCE :
MAISON DES ARTISANS, SICAP LIBERTE 5 FACE VILLA N° 5328 N ; Tel :
221 77 207 77 86 ;
Association Sénégalaise des Producteurs de
Semence Paysannes (ASPSP)
BP : 147 - Vélingara, Sénégal /
BP : 3288/A – Thiès, Sénégal
Tél. - Thiès : (00221) 951 53 36 – (00221)
33 951 00 46
Þ
Expert / SEIA / APRAO, Chargé des Relations avec les
Institutions et les Partenaires. L’Association pour la Promotion des
Artisans et Ouvriers (APRAO) organise en partenariat avec
Emergence radio, la radio de l’emploi et de la formation, la
1ère Semaine d’Exposition en Intelligence Artisanale – SEIA, du 11
au 17 juillet 2011 au Centre Socioculturel de Sacré-Cœur Mermoz à
Dakar. Le thème principal de cette SEIA est: « Artisanat et Développement durable » en sigle A2D.
Les objectifs de cette Semaine
: Faire connaître des
produits innovants fabriqués par nos artisans, rendre visible leur génie
créateur, susciter des
vocations en
faisant découvrir des formations et des métiers artisanaux, apporter soutien
et conseils aux entreprises artisanales en
vue de contribuer au développement
économique de
l’artisanat. (Références : TDR et autres documents de la
SEIA) ;
Þ
Membre du Groupe de travail Recherche / Secteur privé / Vulgarisation lors de
la 4e Conférence internationale des Produits naturels issus des
Plantes du 25 au 27 Août 2004 à Dakar / Sénégal, AES / ASNAPP / USAID / NEPAD / PNUE- FEM Biosécurité ;
Þ
Participation – Quatrième Conférence internationale des produits naturels
africains issus des plantes - Association Education Santé (AES) / Sénégal et
ASNAPP (Agri business in Sustentateur Naturel Africain Plants Products) du 25
au 27 Août 2004 à Dakar / Sénégal. NB : ABSP (Agricultural
Biotechnology Support Projet- Michigan State University) est un projet financé
par l’USAID pour soutenir la recherche agricole en matière de biotechnologie
dans la Région. L ’USAID
en partenariat avec l’Institute of International Agriculture.
Þ
Expert Participant – Ateliers de Formation du Projet de Promotion des
Exportations au Sénégal (PPES) sur: « Les Négociations commerciales
internationales ».
Cérémonie
officielle présidée par Mme Mariam DAFFE Directrice du PPES / Sénégal, Mr.
Cheikh Seck Directeur du Commerce extérieur / Ministère du Commerce et Mme
Abibatou DIABY Directrice du BSDA (Bureau Sénégalais du Droit d’Auteur). Les 27
et 28 Octobre 2004 à l’hôtel Sofitel Téranga de Dakar, 9H à 16 H – MINISTERE DU
COMMERCE SENEGAL & USAID;
Þ
Participation- Atelier –Dialogue National sur le Fonds pour l’Environnement Mondial;
Ministère de l’Environnement et de la Protection de la Nature – Sénégal; PNUE –
Banque Mondiale – PNUD – FEM du 27 au 29 septembre 2004 à Dakar. Mercredi 29
septembre 2004, Visite du Projet de protection et de gestion durable de la
diversité biologique de la forêt de Ngazobil dans la Région de Thiès / Sénégal ;
Þ
Membre du Groupe des Experts – Conférence Ministérielle sur les mécanismes de
financements pour l’Initiative Environnementale du NEPAD. « Domaine
d’intervention N°4: la conservation et l’utilisation durable des ressources
marines et côtières. » du 12 au 14 Octobre 2004 à Dakar. Programme GIRMAC
(Gestion intégrée des ressources marines et côtières) / MEPN-NEPAD-PGIES
(projet de Gestion intégrée des Ecosystèmes / MEPN-PNUE-FEM);
Þ
Membre du Comité nationale d’organisation de la JMA (Journée Mondiale de l’Alimentation).
Depuis une dizaine d’années, en tant qu’Expert, nous avons ont eu à organiser
les manifestations commémoratives de la journée avec des thèmes différents liés
aux Savoirs endogènes mais tous corrélés à la Sécurité alimentaire. Il s’agit
particulière des régions suivantes:
●
Thiès à Mékhé en 2003:
«bâtir
ensemble une alliance internationale contre la faim». En i lest important de
souligner que durant ce JMA 2003, le Groupe WLD 2000 a beaucoup échangé sur le
Projet de la Nouvelle Capitale Sénégalaise à Lompoul. Et, le Groupe WLD 2000,
dans le cadre de son Droit à la Participation et à l’Implication garanti par
les Instruments juridiques internationaux, a beaucoup Communiqué de ces
résultats d’enquetes de terrain (JMA 2003 à Meckhé) à la Rencontre avec le
Ministre de l’Urbanisme et de l’Aménagement du Territoire (Mr. Seydou Sy
SALL) et le Secteur privé pour l’Information et la Présentation sur les
Projets de Meckhé (Thiès) – le Vendredi 10 Octobre 2003 à 10heures à la
Chambre de Commerce, d’Industrie et d’Agriculture de Dakar -CCIAD (Cf.:
Service Documentation et Archivage de la CCIAD);
●
Fatick à Fimela en 2004: «la
biodiversité au service de la sécurité alimentaire»;
●
Diourbel dans la Commune en 2005: «Agriculture et Dialogue des cultures» où nous avons communiqué sur le
XOY et le BAWUNAAN et Organisation d’Exposition des instruments aratoires
agricoles traditionnels;
●
Saint-Louis à Ross Béthio en 2006: «Investir dans l’agriculture pour la sécurité alimentaire»;
●
Tambacounda à Missirah en 2007: «Le Droit à l’alimentation»;
●
Kolda à Anambé en 2008: «Sécurité
Alimentaire Mondiale: « les défis du changement climatique et des
bioénergies»;
●
Kaolack à Taïba Niassène Département de Nioro du Rip en 2009:
«Atteindre la sécurité alimentaire en
temps de crise» ;
Þ
Membre du Groupe de travail n°1 « Gestion
des Inondations » et du Groupe de travail n°1 « Gestion Volet logistique » /
Atelier d’actualisation du Plan de Contingence National, du 09 au 11 juin
2009 à Dakar / Sénégal – MINISTERE DE L’INTERIEUR ET DES COLLECTIVITES LOCALES
ET DE LA DECENTRALISATION / Direction de la Protection Civile / Projet d’Appui
au Programme National de Prévention, de réduction des Risques majeurs et de la
gestion des Catastrophes naturelles au Sénégal dans le contexte de réduction de
la pauvreté (PAPNGCN) / PNUD ;
Þ
Expert Membre du Groupe de travail francophone / BIOTECHNOLOGIE &BIOSECURITE, Atelier de renforcement de
capacités en biotechnologie et biosécurité pour les régulateurs et les
formateurs, du 08 au 10 Juillet 2009 à Dakar / Sénégal, UCAD / ED-SEV, USDA, MICHIGAN STATE
UNIVERSITY, NEPAD ;
Þ Expert
de la MAISON DES ARTISANS (COB / APRAO) - ATELIER
DE SENSIBILISATION DES
ACTEURS NON ETATIQUES (ANE) DE LA CEDEAO SUR LE PROGRAMME COMMUNAUTAIRE DE DEVELOPPEMENT
(PCD)
CONTRIBUTION DES ACTEURS NON ETATIQUES (ANE) AU DEVELOPPEMENT DE L’ESPACE CEDEAO Recensement régional de la CEDEAO - « Ensemble
pour une CEDEAO des Peuples ! »
Dakar,
Sénégal, le Vendredi 10 Décembre 2010 ;
Þ Expert
de la MAISON DES ARTISANS (COB / APRAO)- ATELIER
DE REFLEXION GROUPE THEMATHIQUE SUR
« COMMERCE, INTEGRATION REGIONALE ET PROTECTION DES
CONSOMMATEURS » / PLATE FORME DES ACTEURS NON ETATIQUES (ANE)- Thème :
« Promotion de la Protection des consommateurs à travers les stratégies de
commerce et d’intégration régionale » - Dakar, Sénégal, du 13 au 14
Décembre 2010
Conseil National des Associations de
Consommateurs (CONAC)
Réalisé avec l’appui du Projet de
Renforcement des Capacités de Bonne Gouvernance (PRECAPBG) / PNUD
PLATE FORME DES ACTEURS NON ETATIQUES pour
le suivi de l’Accord de Cotonou au Sénégal ;
Þ Chercheur, Expert de la Société civile, participant à la
Conférence de Haut Niveau PNUD – UNITAR
sur :« L’Afrique et les partenaires émergents : les grands
enjeux en matière de commerce et d’investissement »,13 – 14 Décembre
2011, Hôtel Le Méridien Président - Dakar, Sénégal - N / Réf : BK /
AS / 11 / 830 – December 5th 2011 / UNDP – UNITAR High – Level
Conference on “Emerging Partners and Africa: Key Trade and Investment Issues”
(Dakar, Senegal – 13 to 14 December 2011 ) ;
Þ Chercheur
indépendant Participant – FORUM
D’AFFAIRES DU RIZ SENEGALAIS, les 23 et 24 Janvier 2012 à la Place du
Souvenir de Dakar / Sénégal – USAID ;
Þ Chercheur
/ Société civile / Copagen Sénégal (Coalition pour la Protection du Patrimoine
Génétique Africain) Participant – Forum National sur les Enjeux du
Développement Agricole et Rural et la Gestion Foncière, les 13 et 14
Février 2012 à l’Hôtel Niambour de Dakar – CRDI / IPAR / CONGAD – Réf :
Invitation 021 / CNCR / CAT / P du
O3 Février 2012 à Dakar ;
Þ
Chercheur / Société civile / Copagen Sénégal (Coalition pour la Protection du
Patrimoine Génétique Africain)
Participant – 1er Atelier de Formation des Acteurs de la
Société civile sur le BIOSAFETY CLEARING
HOUSE (BCH) et le Centre d’Echange pour la Prévention des Risques
Biotechnologiques (CEPRB). Membre du Groupe de travail sur « La
Pérennité des Systèmes Nationaux du BCH ». Les 14, 15 et 16 Février 2012
au Centre d’Enseignement à Distance de Dakar / Sénégal - PNUD – FEM / DPN –
MEPN SENEGAL;
Þ Participation Zone N°1 Saint – Louis / Groupe WLD 2000 au
Séminaire sous régional sur « les
Savoirs Endogènes et la Propriété Intellectuelle » du 18 au 20
Décembre 2012 à Saint - Louis / Sénégal - ISESCO / OCI en
partenariat avec Commission nationale sénégalaise pour l’UNESCO / ISESCO;
Þ CONSULTATION
INTERNATIONALE - SECRETARIAT DU TRAITE INTERNATIONAL SUR LES RESSOOURCES
GENETIQUES DES PLANTES (TIRPAA) AUPRES DE LA FAO - THEME DE CONTRIBUTION DU Groupe WLD 2000 : « Traité
international et semences paysannes : la réponse collective des
organisations paysannes » - Mars
2013
Fait à Dakar, Sénégal, le 03 Avril 2013
Le Responsable
Dynamique et Mobilisation Féminines ;
Agriculture de subsistance urbaine et / ou
rurale ;
Auto- développement.
Source : Volet Information et Communication Durables / Cabinet CPEE / Groupe WLD
2000
Adresse Zone Principale : CP 13522, BP 37171, Dakar /
Sénégal
Tel: + 221 77 597 28
63 /+221 77 539
47 35 /+ 221 77 320 23 29 / +221 76 679 70 23 / +221 70 780 83
28;
R.C: SN
DKR – 2012 – A – 2191; NINEA:
004522589
Banque: BRS Sénégal – SN125 01001 018030040106
33
IMF: Pamecas Gd Yoff Dakar N°21532; U-IMEC Liberté 6 Dakar N° 2320
E-mail : groupe.worldleadership2000@gmail.com
Notre Savoir – faire, Notre Stratégie du Faire-
Faire, Notre Approche Compétences (APC), Notre Approche Intégrée Droits de
l’Homme (AIDH), pour vous satisfaire.
0 Comments:
Post a Comment
<< Home