Entreprenariat et Santé Maternelle et Infantile
GROUPE WORLDLEADERSHIP 2000
“Groupe WLD 2OOO”
Cabinet de Conseil opérationnel d’assistance et
d’accompagnement, de Promotion Economique et
d’Entreprenariat
« Cabinet
CPEE »
Développement Durable et Croissance Economique Soutenue –
DD/CES
Promotion Socio-économique Soutenue et Entreprenariat Social
et Sociétal pour un Développement Humain Durable
VOLET INFORMATION & C0MMUNICATION Durables
« Volet
ICD / IEC / CCC »
ZONE
CENTRE N°2 FATICK / KAOLACK / KAFFRINE/ DIOURBEL
Note de contribution et de partage de l’atelier d’ETE 2014 de
fatick en rapport avec
La Problématique communicationnelle et inclusive des
Systèmes d’Information et de Gestion des Services de Santé publique durable:
1°) Journée Nationale des Assistantes
maternelles du 19 Novembre 2014 ;
2°) Journée Internationale des Aides –
soignants du 26 Novembre 2014.
Novembre
2014
Étude préparée
par :
Mr Babacar Ndiaye
Expert / Société civile de l’Education et du Développement
Leader influencer & GOUVERNANCE INNOVANTE du
Collège des experts / Cabinet CPEE du Groupe WLD 2000
Tél: +221 77 539 47 35
ATELIER D’ETE
Organisé par
WOMEN FOR WOMEN
EMPOWERMENT PROJECTS - WFMEP
Thème: “ Entreprenariat et Santé Maternelle et Infantile”
Lieu : Au Centre Kalima (Quartier Daral) à Fatick, Sénégal
Date : Mercredi 13 Août 2014 de 12 Heures à 17 Heures
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SUMMER WORKSHOP
Organized by
WOMEN FOR WOMEN
EMPOWERMENT PROJECTS - WFMEP
Principal
Subject “Entrepreneurship and Maternal and
Child Health”
Lieu : Au Centre Kalima (Quartier Daral) à Fatick, Sénégal
Date: Wednesday 13th
August 2014; 12:00 PM – 5:00 PM
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Déroulement de l’Atelier d’Eté 2014 à Fatick
-
Installation
et Mise en place des femmes de WOMEN FOR WOMEN EMPOWERMENT PROJECTS – WFMEP ;
- Introduction des Pasteurs de Dakar et
Kaolack ;
-
Première Communication de l’Infirmier Chef de Poste (ICP) de
Fatick ;
-
Deuxième Communication de l’Expert de la Société civile de
l’Education et du Développement de Dakar ;
-
Troisième Communication de l’Experte du Crédit Mutuel du Sénégal -
CMS de Fatick ;
-
Débat et Echanges avec le Modérateur – facilitateur AFRICAN &
WORDL CIVIL SOCIETY’ Expert.
PROBLEMATIQUE
Pourquoi les OMDs ne seront pas atteints en 2015 notamment ceux en rapport avec
le secteur de la Santé des Femmes, des
Nouveau-nés et des Enfants? Pourquoi le Droit d’accès aux services et
soins de santé demeure déficitaire entre l’Offre publique de Santé durable
aux citoyens (Etats, SNU, Directives de l’UEMOA / CEDEAO / UA, Agences de
Coopération internationale et de l’Union Européenne sur la cohérence et
l’harmonisation des Systèmes et Politiques d’intervention) et aux structures de
développement de l’économie nationale (Investissements des établissements de santé
privés et Opérations de terrain de la Société civile médicale) ?
Avec les Compétences émergentes sur le Marché international du Travail (WEM),
la Croissance rapides des maladies à soins coûteux (les MNTs) et les limites
objectifs des universités et établissements publics de santé pour les
Gouvernements subsahariens de consacrer un pourcentage discriminatoire de
leur Budget national à des services et
soins de santé compétitifs ? Quelles politiques d’éducation financière faut – il
institutionnaliser pour l’équilibre entre l’Accès
universelle et durable aux services et soins de santé des populations à
grande vulnérabilité de revenu et d’extrême précarité monétaire ?
En référence à la CIPD’94 sur « la Santé
de la Reproduction et le Développement Durable » et les objectifs
intergouvernementaux sanitaires définis pour 2020, la prise en charge
effectif de la Gouvernance financière,
de l’éducation et de la formation
des Ressources Humaines à travers la Santé de la Reproduction ( ou la Santé
reproductive) par les Gouvernements africains restent impérativement les
défis majeurs de développement à relever pour l’après 2015 des 08 OMDs et le Renforcement des Systèmes d’information et services de Santé en
partenariat avec les Services centraux des ministères de la Santé, les
réseaux de mutuelles de santé, le Secteur privé commercial et non commercial,
les organisations et individualités de la Société
civile médicale (ONGs, Associations
de malades, Cabinets IEC / CCC, Personnes Ressources etc.) .
Les institutions gouvernementales
et intergouvernementales, les
communautés et la Société civile religieuses
sont également reconnues comme moyen d’éducation et sous le contrôle de
l’Etat pour l’encrage et l’engagement citoyens dans le management à chaque niveau
de la pyramide sanitaire et des référencements médicaux en dehors des capitales
régionales, particulièrement la Capitale sénégalaise de Dakar.
Prétextant aussi à la Journée
Internationale pour l’Elimination de la Violence à l’Egard des Femmes du 25
Novembre 2014, il serait important de vulgariser d’autres approches de Droits Humains Durables pour une meilleure prise en charge des victimes et traumatologies graves des
femmes qui sont enceintes à la suite d’un viol et d’une grossesse non
désirée. Selon l’OMS, l’avortement non
sécurisé (les IVG) est une des principales causes de mortalité et de
morbidité maternelle où chaque année 05
millions de femmes handicapées et 47 000 décédées. A ces indicateurs
de santé, s’ajoutent les pourcentages inquiétants de femmes décédés en donnant
la vie, principalement en Afrique subsaharienne.
En 1998, le PNUD s’était bien investi
pour l’intégration des Droits de l’Homme au Développement Humain Durable (DHD)
à l’activité des divers organismes du Système
des Nations Unies (SNU). En 2002, l’Organisation
Mondiale de la Santé (0MS) de manière transversale avait pris les
dispositions d’intégrer les principes fondamentaux des Droits de l’Homme (Approche AIDH) dans ses politiques et ses
programmes de développement à la santé. Dés
les premières apparitions de la fièvre hémorragique d’Ebola en novembre 2013 et
le premier bulletin d’alerte de l’OMS du 23 mars 2013 signalant 49 cas dont 29
mortels, nous avons assisté à une croissance exponentielle des risques
réels catastrophes
(Approche et
Planification RRC non intégrée dans la communication de crise avec les
acteurs de la Société civile africaine et internationale et les structures
scolaires et universitaires transfrontalières dans la zone UEMOA / CEDEAO)
à une menace planétaire globale. L’urgence du virus d’Ebola demeure une
Priorité dans le Secteur de la Santé où dans ce cas les lourdes procédures institutionnelles sont devenues fatales pour les
populations de l’Afrique de l’ouest (Sierra
Léone, Libéria, Guinée Conakry etc.) sur le plan sanitaire, alimentaire,
nutritionnelle, monétaire, socio - économique, gouvernance des infrastructures
etc. En plus de ce RRC d’Ebola qui
s’était annoncé, depuis 2012 la Crise
d’insécurité alimentaire et nutritionnelle sévères touchent plus de 15 millions de personnes et fortement
aggravait par les conséquences nationales et régionales de la crise politique
malienne, la prise du pouvoir par les militaires au Burkina – Faso, la
Criminalité transfrontalières et la Traite des personnes en Afrique de l’ouest. La
malnutrition sévère touche plus d’un million d’enfants au Sahel. Hormis en zone agro-sylvo-pastorale fortement
affectée par la sécheresse et le déficit pluviométrique continue impactant la
production agricole avec le Comité Inter-Etats
de Lutte contre la Sécheresse au Sahel (CILSS). Est – ce
que le CILSS a intégré dans sa stratégie le partage des Systèmes d’Information (SIG) avec la grande masse
d’établissements scolaires, universitaires et post - universitaires en Afrique
de l’Ouest ?
Mais aujourd’hui, l’OMS vient d’enregistrer plus de 5000
morts par le virus d’Ebola en Afrique de l’Ouest.
Les inquiétudes sont extrêmement grandes au niveau des institutions inter
gouvernementaux et gouvernementaux. Les autorités officielles présentent à la 69e session de l’Assemblée
générale des Nations – Unies sont intrinsèquement conscientes des RRC de l’évolution de la maladie
hémorragique à virus d’Ebola dans la sous-région (UEMOA, CEDEAO) et ses impacts à Court, Moyen et Long termes
sur l’Environnement économique, financière, monétaire, sanitaire, sécuritaire
etc. La dégradation continue des systèmes de survie des populations
vulnérables en Afrique de l’ouest touchées par le virus d’Ebola exige une
attention particulière aux autorités de mettre en place une organisation et des
critères de sécurité et de sûreté en Approche et Planification RRC avec tous
les acteurs de développement.
Les OMD ne seront pas atteints en 2015 faute de n’avoir pas
intégré les Droits Humains (Approche AIDH). Le
Représentant résidant de la FAO à Dakar a demandé une aide d’urgence de 30
millions de dollars pour l’insécurité alimentaire dans le Sahel. A la dernière
conférence des Nations Unies, le SG de l’ONU vient de rappeler que sur les
milliards de Dollars pour intervenir sur les ravages du virus d’Ebola seul le
quart est mobilisé par un Donneur
individuel et la France a promit d’installer un Centre de
traitement en Guinée forestière. L’ONG- MSF a déjà lancé une alerte d’urgence
précoce. Il y a une exigence de l’heure pour une Solidarité internationale et une Coopération mutuelle pour venir à
bout de l’épidémie d’Ebola entre les décideurs (Etats, ONU, UA, UE, UEMOA,
CEDEAO, Agences de coopération …) et les acteurs (organisations et
individualités de la Société civile et du Secteur privé lucratif et non
lucratif en Afrique d’abord et dans le
monde).
Les Risques en
Communication de crise
pour les intervenants sur le terrain des opérations, les besoins
multidimensionnels (monnaies, médicaments, aliments et nourriture, logistiques
et équipements etc.) exigent une mutualisation de tous les acteurs et décideurs au niveau collectif et
individuel. Le fait de mettre en commun
l’ensemble de nos idées nous permet de développement et d’atteindre les principes
de durabilité des OMDs au-delà de 2015, à partir des traités et conventions
internationales, une meilleure pratique pour la « FAMILLE HUMAINE » définie dans la Charte des Nations
Unies.
Autrement dit, quelque chose ne
fonctionne avec nos « systèmes alimentaires », selon la FAO. Dans la
mesure où « la santé des
populations dépend de systèmes alimentaires sains », la collaboration
entre les organisations internationales – et en particulier celles ayant leur
siège à Rome (FAO, FIDA, PAM), comme soulignait dans le Mot du Représentant de
la FAO lors de la JMA 2013 « Des systèmes alimentaires durables au
service de la sécurité alimentaire et de la nutrition » (…).
Suite à toutes ces idées
développées précédemment, dans notre
position ultra – stratégique de SOCIETE CIVILE AFRICAINE ET INTERNATIONALE
entre les institutions intergouvernementales et gouvernementales, nous
avons beaucoup participé à l’appropriation et l’intégration des principes de
durabilité à travers les Recommandations finales de la CIPD’94 et la CIPD+20 / SRAJ 2020. Nous avons mené un Plaidoyer international fort auprès de
l’OMS une maternité à risque zéro et la détermination les causes en se référent
à des facteurs médicaux et socio-juridiques ainsi qu’au système de santé et la
promotion des droits de la femme
(Conférence de Beijing). Lors de nos travaux d’analyse des systèmes de DSRP
en 2004 avec le Groupe de la Banque
Africaine de Développement, nous avons travaillé ensemble avec l’Equipe
Régionale d’Appui technique pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre du FNUAP (UNFPA) dans le cadre d’implication des consultants ou
des Cabinet de Conseils opérationnels et d’accompagnement de terrain et la
Gestion des SIG des Programmes – Pays.
Avec les indicateurs en RRC de la fièvre hémorragique d’Ebola (exemple
salutaire de SAP de l’ONG – MSF), la Traite des personnes et le vide
juridique de législation pour le Marché d’organes et de tissus humains et les limites dans les DAO du Secteur de la
Santé, l’Afrique de l’Ouest est dans l’impératif d’impliquer et d’intégrer
les organisations et individualités de la Société civile et du Secteur privé,
les Consultants et Cabinets de Conseils opérationnels nationaux, les Familles,
les Collectivités locales et municipales dans la Gestion Axée sur les Résultats ( GAR) à forte valeur ajoutée
humaine.
Déroulement de l’Atelier d’Eté 2014
à Fatick
Après
l’installation et la mise en place des participants et des femmes de WOMEN
FOR WOMEN EMPOWERMENT PROJECTS – WFMEP, les
présentations ont permis de mieux se connaitre.
Les
deux Pasteurs de Dakar et de Kaolack ont débuté l’Atelier par des prières de
paix et de santé durable à toute la « Famille Humaine ». Ils ont
aussi assuré une présence effective de position de Société civile religieuse durant tout le déroulement de l’Atelier.
Le
Débat et les Echanges avaient comme Modérateur
– Facilitateur Babacar NDIAYE / AFRICAN & WORDL CIVIL SOCIETY’ Expert
Première
Communication de l’Infirmier Chef de Poste (ICP) de Fatick
La
Première Communication a été présentée par Mr
A. LY, Infirmier Chef de Poste (ICP) de Fatick autour du sous – thème « Santé de la Mère et de
l’Enfant ».
Deuxième Communication de l’Expert de la
Société civile de l’Education et du Développement de Dakar
La
Deuxième
Communication a été présentée par Babacar NDIAYE, Expert de la Société du Collège des experts du Cabinet CPEE du
Groupe WLD 2000 de Dakar autour d’un
sous – thème n°1 sur
« l’Entreprenariat et la Micro –entreprise » et d’un sous - thème n°2 sur « l’Elaboration
et la Formation de Projet ».
Þ
Résumé du sous – thème n°1 sur
« l’Entreprenariat et la Micro –entreprise »
Atelier de Formation et Renforcement de capacité – Août 2014
Sous -Thème : « ENTREPRENEURSHIP ET MICRO-ENTREPRISE »
Sommaire de la Présentation
I-
Qui est Babacar NDIAYE
II-
Contextualisation
III-Les fondements
IV-Les Objectifs
V-les Activités de
développement
VI-Etude de quelques cas de réussite
Þ Résumé du sous - thème n°2 sur « l’Elaboration et
la Formation de Projet »
A travers la Communication de ce sous - thème n°2, nous avons fait un Cour interactif et
participatif aux femmes sur la Formation et les techniques
d’Elaboration d’un Projet à travers l’Etude des Besoins de Marché, l’Etude Sociale et l’Etude technique
en Besoins Inputs et autres moyens.
Troisième Communication de l’Experte du Crédit Mutuel du Sénégal -
CMS Agence de Fatick
La Troisième Communication a été présentée
par A. FAYE Agent et Experte du Crédit
Mutuel du Sénégal – Agence CMS de Fatick sur « l’Accès au crédit pour les
Femmes ».
Débat et Echanges avec le Modérateur – facilitateur AFRICAN &
WORDL CIVIL SOCIETY’ Expert
En
tant que Modérateur – Facilitateur, Expert de la Société africaine et
internationale, nous avons commencé par décliner la grande expérience
capitalisée depuis une dizaine d’années à participer dans des thématiques de
réflexion autour de la Promotion et de
la Protection des Droits Humains de la
Femme et de l’Enfant sur le
plan national, sous régional, régional et international à savoir l’accès à
la terre aux femmes, la Convention sur l’Elimination et la Discrimination à
l’Egard des Femmes (CEDAF), les SRP féminines, les MGF, l’Entreprenariat
féminin, Expert de l’INDH à la CADH / UA
et Analyse des pré-rapports EPU Sénégal / ONU etc.
En
expliquant le Droit à la participation
et les Droits humains de 3e Génération garantis par les textes et
instruments juridiques internationaux ratifiés par le Sénégal, nous avons
expliqué la Transversalité et la
Sectorialité de l’OMD 3
« Promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes »,
l’OMD 4 « Réduire la mortalité
infantile » et l’OMD 5
« Améliorer la santé maternelle » par rapport aux 08 OMDs.
Pour
insister sur les urgences actuelles
d’insécurité alimentaire et nutritionnelle sévères au Sénégal, nous
rappelons que les femmes sont responsables de la nutrition de leur famille et
de la production des aliments de subsistance dans une grande partie du monde.
Mais, nous avons aussi décidé que les femmes de WOMEN
FOR WOMEN EMPOWERMENT PROJECTS – WFMEP s’organise davantage pour exiger auprès
du Gouvernement de la République du Sénégal et des institutions
intergouvernementales qu’une discrimination positive soit établie pour affecter
une somme du Budget d’achat de vivre pour la Sécurité alimentaire et
nutritionnelle à leur production locale.
A 18H15 mn,
nous avons levé la séance en promettant les femmes de WOMEN FOR WOMEN EMPOWERMENT PROJECTS – WFMEP de s’organiser
davantage dans un futur proche pour nous permettre leur capacité à d’autres
problématiques transversales de Développement propre et Croissance soutenue
auprès des institutions et PTFs.
Pour
Le
Responsable
Transversalité
et Redéploiement d’expertise
Et
de compétences
Source : Volet Information et
Communication Durables / Cabinet CPEE / Groupe WLD 2000
Adresse:
CP13522, BP 37171 Dakar / Sénégal
Tel:
+ 221 77 539 47 35 / +221 77 320 23 29 +221 76 679 70 23 / +221
70 780 83 28;
+221 77 218 04 08 (Service Finances, Administration de
Crédits et Recouvrement)
E-mail :
groupe.worldleadership2000@gmail.com; recouvrementcbis@gmail.com
§§§§§§….Notre Savoir – faire, Notre Stratégie du Faire- Faire,
Notre Approche Compétences (APC), Notre Approche Intégrée Droits de l’Homme
(AIDH), pour vous satisfaire…§§§§§
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