Enjeux du Financement de la Propriété Intellectuelle
GROUPE
WORLDLEADERSHIP 2000
“Groupe WLD 2OOO”
Cabinet de Conseil opérationnel d’assistance et
d’accompagnement, de Promotion Economique et
d’Entreprenariat
« Cabinet CPEE »
Développement Durable et Croissance Economique Soutenue –
DD/CES
Promotion Socio-économique Soutenue et Entreprenariat Social et Sociétal
pour un Développement Humain Durable
Code
Réf: N°004 / BN / GWLD 2000 / 2013
Schéma de
Financement de la Propriété Intellectuelle et du Développement de l’Innovation
Les banques populaires,
Le crédit documentaire, moyens de
paiement en banque : schéma de financement d’un projet Energies Nouvelles ET
Renouvelables (ENR) et d’innovation technologique
Dakar, Sénégal –
Janvier 2013
Déthié DIOP
Expert Développement Durable,
Biotechnologie et Droit de la
Propriété
Tél : + 221 77 597 28 63
SOMMAIRE
GENERALITES
RESUME EXECUTIF
INTRODUCTION
I - NOTES SUR LES OPERATIONS DE BANQUES
1) REGLEMENTATION DE L’ACTIVITE
BANCAIRE
2) APPERÇU SUR LES DEPÔTS EN BANQUE
3) REGARD SUR LES DIFFERENTS COMPTES
BANCAIRES ET SERVICES BANCAIRES
II - LE CREDIT DOCUMENTAIRE
1) NOTE INTRODUCTIVE SUR LES MOYENS
DE PAIEMENT EN BANQUE
2) MOBILISATION DES CREANCES
COMMERCIALES ET OPERATIONS DE CREDIT COMMERCIAL – L’INVESTISSEMENT DE
PORTEFEUILLE A LONG TERME
III - ANALYSE DE LA CONVENTION DE CRDEDIT
1) OPTIMISATION D’UN MODELE DE
FINANCEMENT D’UN PROJET ECO – ENERGETIQUE
2) LE MANDAT ENERGETIQUE
3) MONTAGES FINANCIERS
IV - SYNTHESE / CONCLUSIONS – EXPERIENCES CROISEES
QUELQUES REPERES STRATEGIQUES DU
Groupe WLD 2000
Généralités
Les
mouvements de capitaux à long terme s’effectuent à l’aide d’instrument dont
l’échéance est supérieure à un an. Le Capital à long terme est en général
représenté par des actions et des obligations. Le crédit à court terme est
caractérisé par sa durée qui ne peut excéder deux ans. Le crédit commercial est
directement lié à l’activité de l’entreprise, il s’agit presque toujours d’une
créance commerciale dont le recouvrement ultérieur assure le remboursement.
Résumé
exécutif
Le
rôle essentiel des banques est d’intervenir dans le circuit monétaire pour
fournir aux entreprises et cabinets les crédits dont elles peuvent avoir besoin
pour leur exploitation. L’opération de crédit est caractérisée par la réunion
de deux facteurs : le temps et la
confiance. Pour qu’il y ait crédit il faut d’une part un décalage dans le
temps entre la remise d’un Capital et la restitution de ce Capital (ou de son
équivalent) par le bénéficiaire du crédit et d’autre part l’assurance fondée
sur la personnalité du crédité ou sur les garanties qu’il peut apporter que la
somme avancée sera restituée à l’échéance. C’est parce que le risque existe
pour le fournisseur de crédit qu’il est calculé. La durée du décalage entre la
remise des fonds et leur restitution permet de classer les crédits à trois (03)
catégories :
─ Le crédit à long terme dont la durée est
généralement supérieure à cinq ans ;
─ Le crédit à moyen terme dont la durée est
comprise entre deux et cinq ans ;
─ Le crédit à court terme d’une durée
inférieure à deux ans.
Introduction
Contrairement
à la Convention de crédit par exemple, qui n’est prévue par aucun texte, et qui
constitue entre le banquier et son client un client innomé dont l’objet serait
un « crédit à consentir ». Un contrat conclu intuitu personae.
L’opération de crédit implique par sa nature même la confiance
réciproque des parties. Il prend fin par le décès, la liquidation des biens ou
l’incapacité de l’une des parties et s’il s’agit d’une société par la
dissolution de celle-ci. Entre autres moyens de paiement en banques le crédit à
court terme se prête bien aux opérations de financement de la politique des
mandats énergétiques par exemple. Notamment le Crédit documentaire apparait
comme une alternative de financement des Energies Nouvelles et Renouvelables -
ENR (énergie solaire, éolienne, biocarburant) même s’il est lié à la forme des
ventes maritimes.
I
- Notes sur les Opérations de Banque
Les
opérations de banque sont faites le plus souvent dans le cadre d’entreprises
spécialisées dans le commerce de l’argent : les banques. Mais à côté des
banques existent des Etablissements financiers qui effectuent des opérations de
même nature et qui au lieu d’utiliser les fonds provenant des dépôts de leurs
clients travaillent avec leurs propres capitaux.
1) Réglementation
de l’Activité bancaire
La
nécessité d’un contrôle de la circulation monétaire dans une économie moderne à
conduit le Législateur à mettre en place un dispositif propre à surveiller
étroitement l’activité des établissements distributeurs de crédits (banques et
établissements financiers) et à réglementer les opérations qu’ils sont amenés à
passer avec leur clientèle. Les dépôts en banque n’échappent pas à ce contrôle,
cette expertise de contrôle.
2) Aperçu
sur les dépôts en Banque
Les
banques ont pour but principal la distribution du crédit. Cependant leur rôle
est loin d’être négligeable en ce qui concerne les opérations courant de
trésorerie. Le bureau d’étude remet au banquier des fonds sous forme de dépôts,
en contrepartie celle-ci met ses services à la disposition du client pour effectuer
ses opérations de paiement.
3) Regard
sur les différents Comptes bancaires et les Services bancaires
C’est
sous l’angle de la fin de la Convention de crédit qu’un regard sur les Comptes
bancaires et les Services bancaires présentent un intérêt. Si par exemple la
Convention de crédit est à durée indéterminée, chaque partie peut y mettre fin
par volonté unilatérale. Le banquier peut donc résilier sans préavis un crédit
ouvert sans limitation de temps. Si la Convention de crédit est à durée
déterminée le banquier doit jusqu’au terme fixe fournir à son client le crédit
promis.
II
- Le Crédit documentaire
1)
Note introductive sur les Moyens de paiement en banque
Le
Crédit documentaire est lié à la forme des Ventes maritimes. C’est une création
de la pratique commerciale et bancaire dont le fonctionnement a été précisé par
la Chambre de Commerce Internationale (CCI) sous le Titre de « Règles et
Usances uniformes relatives aux crédits documentaires » (Vienne 1933 révisée en 1951 et 1962).
Le
Crédit documentaire est un instrument de règlement de prestations commerciales
internationales : un Acheteur (« le donneur d’ordre » charge un
banquier de verser le prix de
marchandises à son Vendeur (« le bénéficiaire ») contre remise
de documents établissant l’exécution par ce vendeur de son obligation de
livrer.
a) Lorsque le crédit est révocable, le
banquier ne souscrit dans l’accréditif aucun engagement ferme à l’égard du
vendeur. Il informe le bénéficiaire qu’un crédit est ouvert pour permettre le
paiement des marchandises lorsque les documents seront remis ;
b) Lorsque le crédit est irrévocable,
le bénéficiaire a un droit direct à l’encontre du banquier. C’est un engagement
autonome qui résulte de l’accréditif et qui est indépendant du Contrat de vente
et du Contrat de crédit liant la banque au donneur d’ordre.
c) Lorsque plusieurs banques concourent
à l’opération, il faut préciser dans quelle mesure elles se trouvent obligées
envers le bénéficiaire.
d)
Le banquier qui ouvre le crédit du bénéficiaire est généralement
domicilié dans le même pays que l’acheteur. Sa Solvabilité n’est pas
nécessairement connue du Vendeur. Celui-ci exige le plus souvent l’intervention
d’une banque de son propre pays.
e) Si cette banque se charge seulement
de transmettre l’accréditif au Vendeur, elle ne se trouve pas engagée ;
f) Lorsque le crédit est irrévocable,
la banque intermédiaire peut confirmer le crédit i.e. s’engager personnellement
et directement envers le bénéficiaire dans les termes de l’accréditif.
2) Réalisation
du Crédit documentaire
Les
ventes internationales maritimes donnent lieu à la création de divers
documents. Le Connaissement qui représente les marchandises embarquées, la
Police d’assurance qui garantit contre les risques de perte ou d’avaries des
marchandises, les documents douaniers etc.
Ces
divers documents attestent de la bonne exécution du marché.
g) Ouverture du crédit documentaire,
lors de la conclusion du Contrat de vente,
l’Acheteur et le Vendeur conviennent que le règlement du prix
s’effectuera par Crédit documentaire. L’Acheteur prend l’engagement
d’obtenir l’intervention d’une banque
qui paiera contre remise des documents prévus au Contrat.
h) En exécution de la promesse qu’il a
faite au vendeur, l’Acheteur (donneur d’ordre) demande à sa banque d’ouvrir un
Crédit documentaire au Vendeur.
i) Si le banquier consent à couvrir le
crédit sollicité il le notifie immédiatement au Vendeur (bénéficiaire) en lui
faisant parvenir un accréditif (ou une Lettre de crédit) précisant l’étendue de
son engagement.
j) Dans les rapports entre le donneur
d’ordre et la banque, le crédit accordé ne peut être révoqué quel que soient
les événements qui affectent leurs relations.
k) Les droits du Vendeur (bénéficiaire)
sont très différents selon que le crédit est « révocable » ou
« irrévocable ».
l)
En contrepartie des documents prévus par l’accréditif et après leur
vérification le banquier paie le montant prévu au Contrat.
Si
les documents sont incomplets ou si l’un deux comporte une irrégularité le
banquier les rejettes et refuse l’exécution.
l) Lorsqu’il a payé, le banquier doit
transmettre les documents au donneur d’ordre qui est tenu de le rembourser de
ses avances.
Pour
garantie de ce remboursement, le banquier peut exiger la constitution de
sûretés tant qu’il ne s’est pas dessaisi des documents représentatifs des
marchandises (connaissement, police d’assurance à ordre), le banquier bénéficie
d’un véritable droit de gage sur ces marchandises.
III
- Analyse de la Convention de crédit
1)
Optimisation d’un Modèle de Financement d’un Projet Eco-énergétique
A
coup sûr le financement des
infrastructures éco-énergétiques est le nœud gordien du développement des
sources d’Energies Nouvelles et Renouvelables (ENR). C’est pourquoi le bureau
d’étude penche pour l’optimisation d’un Modèle de financement adapté au
contexte africain afin de réduire la vulnérabilité des populations, augmenter
la résilience des populations rurales. Nous proposons ici la valorisation du
Crédit documentaire, pour permettre à un bureau d’étude expert de disposer des
intrants nécessaires à la conception des bio-digesteurs surtout des brûleurs
(brûleur butane – bruleur méthane) et de les fournir sur place en zone à très
faible densité pseudo-isolée en isolée du Sénégal.
Le
Crédit documentaire présente l’intérêt de valoriser le caractère de Hub de la Zone principale Dakar / Thiès du
Groupe WLD 2000 et à partir de Dakar, diffuser sur les quatre (04) zones
secondaires du Groupe au niveau des 14 régions du territoire national.
Aussi,
le Crédit documentaire fait de Dakar, la Zone principale du Groupe WLD 2000,
l’éclat du Hub dont chaque région reflétera. Le dynamisme de cette politique de
filière dont par exemple une Firme comme le Gazier, SEGOA – en est le Symbole,
acte à donner du leur à la
politique de promotion du biogaz.
2) Le
mandat énergétique
Cette
politique consiste à spécialiser les
zones éco-géographiques et agro-pédologiques, les 04 zones secondaires du
Groupe WLD 2000, dans les filières dans les quelles elle présente un avantage
comparatif. Le solaire dans le Ferlo, la Casamance dans la biomasse, le solaire
dans les agro-carburants, les Niayes dans l’éolienne etc.
Le
Crédit documentaire peut aussi donner de la consistance aux mandats
énergétiques. Les banques populaires marocaines approchées dans le cadre de
cette Etude de la Banque populaire en général, sont le socle de promotion de
ces politiques singulières de promotion du Développement
Durable et de la Croissance Économique Soutenue (DD/CES).
3) Montages
Financiers
Une
politique de promotion de l’arboriculture intégré à l’agriculture, reposant sur
le socle d’une Agriculture durable
biologique, et mettant à contribution les Transferts de Technologies (MDP / NTPE). Tel est le nœud de
Gordien d’un Montage financier visant la promotion du Développement Durable et
de la Croissance Economique Soutenue (DD / CES). Des champs à la une, le
produit sera valorisé, le biocarburant raffiné alimente les unités de
production, les moteurs de groupes électrogènes ; et le biogaz éclairera
les locaux à usages d’habitation. Tandis que l’eau sera fournie par les pompes
solaires qui débiteront un cubage conséquent pour l’alimentation des foyers,
des allées et sentiers ainsi que des institutions communautaires de santé (Programmes d’IDE en Santé communautaire du
Groupe WLD 2000 dans les 04 zones secondaires), mosquées, églises etc.
L’éolienne fera fonctionner l’éclairage des Salles de classe des écoles.
IV -
Synthèse / Conclusions
En
définitive, il est clair que les ENR sont incontournables pour le Développement
des Pays Sous-développés. Toutefois, l’équation du financement demeure entière
– et trouver la meilleure formule ne saurait exclure le Crédit documentaire. En
effet, ce Schéma de crédit peut valablement couvrir les Transferts de
technologies (MDP / NTPE) liés au Développement Durable (DD).
Dans
le cadre de l’organisation de la Semaine d’Exposition en Intelligence Artisanale
(SEIA) qui devait se tenir du 11 au
18 juillet 2011 à Dakar, une correspondance a été envoyée à Madame la
Directrice nationale de la BCEAO pour une Communication sur « l’Accès à
l’information économique et financière : les 16 milliards des 81 mille
comptes dormants au Sénégal ? » en vue de proposer des mécanismes
de financement innovants à l’économie nationale soutenue.
Et
l’Annuaire répertoriant les PME / PMI qui interviennent dans le Solaire
configure un Schéma réel de valorisation des ENR.
Quelques Repères
Stratégiques du Groupe WLD 2000
-
Offres
(AAO) N° 02 / 09 / 2012 – PERACOD / ASER - de la GÍZ pour la fourniture, transport et pose des Groupes électrogènes
dans 10 villages de la Région de Sédhiou / Sénégal.
-
Séminaire de
Formation sur le Système ATA (Admission Temporaire / Temporary Admission), du lundi 07 au
Jeudi 1O Février 2011dans le hall de l’institution consulaire, la Chambre de
Commerce et d’Industrie de Dakar (CCIAD). Le Séminaire de Formation sur le
Système ATA ou Carnets ATA (Admission Temporaire / Temporary Admission)
organisé par la CCIAD en partenariat avec les Douanes sénégalaises et la
Fédération Mondiale des Chambres de Commerce (International Chamber of Commerce
/ ICC)-
N/Réf : 000192 CCIAD/DAE/2011/OKG/rdf du 03 Février 2011 à
Dakar et 000219CCIAD/DAE/2011/OKG/rdf du 07 Février 2011 à Dakar.
-
Participation aux
travaux de la Conférence de Haut
Niveau PNUD – UNITAR sur : « L’Afrique et les partenaires
émergents : les grands enjeux en matière de commerce et
d’investissement »,13 – 14 Décembre 2011, Hôtel Le Méridien Président
- Dakar, Sénégal - N / Réf :
BK / AS / 11 / 830 – December 5th 2011 / UNDP – UNITAR High –
Level Conference on “Emerging Partners and Africa: Key Trade and Investment
Issues” (Dakar, Senegal – 13 to 14 December 2011 ).
-
Aller vers la mise en place d’un Conseil opérationnel d’Assistance et
d’accompagnement pour le secteur privé national sous l’égide de la CCIAD en
relation avec la Caisse de Dépôts et de
Consignation (CDC), l’Autorité de Régulation des Marches publiques (ARMP), la
Direction de l’Appui au Secteur Privé et
la vulgarisation de l’Acte OHADA relatif au Droit des Coopératives
depuis le 15 Décembre 2010
In Contribution - Convocation à la
réunion d’informations et d’échanges face aux difficultés rencontrées par les
Opérateurs Economiques dans le cadre du transport de leurs marchandises par
containers et de leurs formalités douanière au niveau du Système Gaïndé pour le
Secteur Privé au Sénégal du 16 Août 2011à Dakar - N / Réf : Convocation 01074 CCIAD / DAE
/ 2011 / OKG / RDF du 10 Août 2011 à Dakar – Sénégal
-
Offre à la BCEAO Siège relative à
l’Etude de la maîtrise d’ouvrage déléguée dans le cadre de la mise en place
d’une Centrale des risques pour le secteur de la micro-finance de la zone UEMOA
-
Membre de la Session des Experts / Conférence
sous-régionale sur l’Amélioration de la Performance industrielle et la
Promotion de l’Emploi en Afrique de l’Ouest – Mise en œuvre du Volet
Développement industriel durable du NEPAD (Initiative pour le renforcement des
capacités productives en Afrique), du 03 au O5 novembre 2OO4 à Dakar / Sénégal,
NEPAD – ONUDI – OIT / BIT – CEA – CEDEAO – UEMOA – BOAD – BID
-
Participation- Atelier –Dialogue National sur le
Fonds pour l’Environnement Mondial
Ministère de l’Environnement et
de la Protection de la Nature – Sénégal
PNUE – Banque mondiale – PNUD –
FEM du 27 au 29 septembre 2004 à Dakar. Mercredi 29 septembre 2004, Visite du
Projet de protection et de gestion durable de la diversité biologique de la
forêt de Ngazobil dans la Région de Thiès / Sénégal
-
Participation – Ateliers de Formation du Projet
de Promotion des Exportations au Sénégal (PPES) sur « Les Négociations
commerciales internationales », du 27 au 28 Octobre 2OO4 à Dakar / Sénégal
– MINISTERE DU COMMERCE SENEGAL & USAID. Réf : Lettre d’invitation Mme Mariam DAFFE, Directrice du
PPES
-
Participation – Atelier national de Restitution
de l’Etude sur le potentiel des PPP (Partenariats Public / Privé) au
Sénégal – le 09 / 11/2004 à Dakar / Sénégal. APIX / PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE
DU SENEGAL - USAID
-
Participation – Séminaire portes ouvertes sur le
Système Commercial multilatéral (SCM) dont 09 Ateliers techniques développés, Dakar,
du 21 au 24 Mai 2007. JITAB (Programme Intégré conjoint d’Assistance technique)
– CCI – CNUCED - OMC / MINISTERE DU COMMERCE, DE LA CONSOMMMATION ET DE
L’ARTISANAT à Dakar / SENEGAL.
-
Participation – Atelier national de restitution
et de partage des résultats de l’Etude sur : « Les contraintes
qui affectent l’environnement des affaires pour les micros, petites et moyennes
entreprises au Sénégal ». Dakar, le 10 Juillet 2007. MINISTERE DES MINES
ET DE L’INDUSTRIE Direction des PME, SENEGAL / GTZ Coopération technique allemande
- Participation – Atelier de
Présentation du Projet « Amélioration de l’offre dans le secteur des
Energies renouvelables ». Le Mercredi 17 juin 2009 au Centre commercial
Les Quatre C de Dakar. BOURSE NATIONALE DE SOUS TRAITANCE ET DE PARTENARIAT DU
SENEGAL (BNSTP-S) / MINISTERE DES MINES, DE L’INDUSTRIE, DE LA TRANSFORMATION
DES PRODUITS AGRICOLES ET DES PME SENEGAL.
CORDIALEMENT.
Le
Coordinateur Collège des Experts
Transversalité et Redéploiement d’expertise et de compétences
Production et diffusion de connaissances dans la Recherche Développement
/ Recherche Action / Recherche appliquée
Développement / Multiculturalisme et Linguistique
Source : Proposition technique MCISI / ASPIT /
Sénégal – Volet Information et Communication Durables / Cabinet CPEE / Groupe
WLD 2000
Adresse: CP 13522, BP 37171 Dakar / Sénégal
Tel:
+ 221 77 539 47 35 / +221 76 679 70 23 / +221 70 780 83 28;
R.C: SN DKR – 2012 – A – 2191; NINEA: 004522589
Banque: BRS Sénégal – SN125 01001
018030040106 33
IMF: Pamecas Gd Yoff Dakar N°21532; U-IMEC
Liberté 6 Dakar N° 2320
E-mail : groupe.worldleadership2000@gmail.com
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Notre Savoir – faire, Notre Stratégie du Faire- Faire,
Notre Approche Compétences (APC), Notre Approche Intégrée Droits de l’Homme
(AIDH), pour vous satisfaire.
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