Millennium Competences! Millennium Leadership's PPP (Public Private Partnerships)! Worthly, I'm neither Civil Society nor Private Sector, in fact, THE BOTH AT ONCE... For ROGIERS, " la compétence est la possibilité, pour un individu, de mobiliser de manière intériorisée un ensemble intégré de ressources en vue de résoudre une famille de situations – problèmes ".

Monday, August 29, 2005

Réforme du Système des Nations Unies : impératif d'intégrer et d'impliquer les jeunes génerations

Est-ce que la Réforme a réellement traité les menaces de la grande précarité que vivent les jeunes ? Est-ce que les véritables acteurs ont été invités dans les réflexions ? Est-ce que la Société civile africaine, c’est uniquement les ONG (Organisation Non Gouvernementale) ? En Colombie nous avons « les chicaires », de jeunes capables de tuer pour une paire de chaussure. En Afrique, nous avons les « enfants soldats et les jeunes mercenaires à l’ouest de la Côte d’ivoire. »


Le point de départ demeure le Rapport annuel lors du 50e Anniversaire de l’ONU sous l’égide de l’ancien Secrétaire général, M.Boutros Boutros Ghali. Le grand paradoxe, les jeunes ont senti la Résolution 50/81 du Programme d’action mondial pour la jeunesse à l’horizon 2000, adopté par l’Assemblée générale (des Nations Unies) que par les mots et les phrases.

Et cette Résolution 50/81 s’inscrivait dans les dynamiques d’une envergure nationale, régionale et internationale.


Aujourd’hui, l’opérationnalisation des recommandations de l’ « Agenda pour la Paix » (Réf:"Agenda pour la Paix":A/47/227-S/24111 et le « Supplément » : A/50/60-S/1995/1) n’est pas institutionnellement vécue par les groupes vulnérables africains. Et paradoxalement, le Groupe de travail sur la mise en œuvre de l’ « Agenda pour la paix » avait tenu 82 séances à la fin juillet 1996. C’est extraordinaire !


Exceptionnellement, il y a une reconnaissance des critiques et les recommandations d’adopter l’Organisation des Nations Unies au XXIe siècle (Réf : « UN MONDE PLUS SUR : notre affaire à tous » - Rapport du Groupe de personnalités de haut niveau sur les menaces, les défis et le changement – Nations Unies / 2004). Nous avons beaucoup apprécié les consultations régionales et journées d’étude thématique du Groupe de personnalités de haut niveau.



La Société civile africaine est extrêmement complexe que des problèmes de participation se posent souvent. Qui doit participer ? Qui est véritablement acteur ? Ce qui nous poussent souvent à nous prononcer sur des questions aussi sensibles, les jeunes générations. Et pourtant dans ce même Rapport du Groupe de personnalités, c’est à la page 24 – A)- Les menaces qui nous guettent qu’une femme, lors des consultations avec la Société civile, a lancé une alerte : « Qu’avons – nous fait pour que ce qui devrait être notre plus grande richesse, devienne une menace pour notre sécurité ? » livrait-elle comme matière à réflexion.



La population carcérale dans les prisons africaines de 10 à 40 ans est en train de croître exponentiellement. Les jeunes subsahariens sont presque oubliés dans les projets et programmes de développement les concernant (SNU, BM, FMI, BAD, CEDEAO, UEMOA, Banques centrales etc.…).


Il y a des acteurs de la Société civile qui sont habilités à vraiment résoudre ces « menaces qui nous guettent ». C’est la Société civile moderniste et post-moderniste. C’est eux qui travaillent régulièrement en collaboration avec les parquetiers, les juges les avocats, les carcéralistes, les institutions, organisations et associations des Droits de l’Homme.



Dans la Deuxième Partie de l’annexe 1- Récapitulation des recommandations, toujours dans le Rapport du Groupe de personnalités cité ci-dessus, je n’ai trouvé aucune recommandation par rapport à ces « menaces qui nous guettent » ( c’est-à-dire la jeunesse). Ces questions de jeunesse risquent d’anéantir les objectifs durables de « la sécurité collective et le défi de la prévention.»


Mais alors que faire donc de l’intégration et de l’implication des jeunes générations à l’accès universel du droit au développement et des droits humains ? « La liberté de vivre à l’abri du besoin, la liberté de vivre à l’abri de la peur et la liberté de vivre dans la dignité » sont impérativement fondamentales pour le bien-être, le mieux- avoir et le mieux-vivre de la personne humaine.

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Babacar NDIAYE
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