Compétences en Afrique: juger uniquement les acteurs dans leur valeur et leur volonté
Est-ce qu’il ne serait pas opportun d’emprunter les techniques de management des valeurs individuelles de la société américaine et japonaise pour résoudre la grande précarité de l’Afrique ?
De cette interrogation, faisons quelques constats. Pour les acteurs du secteur privé, de la manière qu’ils soient chefs d’entreprise ou chercheurs solitaires, ils font plus confiance à leur compétitivité et à leur productivité intrinsèques qu’à la manœuvre forcenée d’un pouvoir personnel. De la manière aussi où se manifestent plusieurs caractéristiques de la société civiles moderne, il y a de ces différentes composantes qui ne soient ni aux ordres ou d’associations connues pour leur indépendance de jugement mais qui investissent dans le partenariat économique, social et équitable pour un Développement Durable (DD) et une Croissance économique soutenue (CES).
De fait, les jeunes générations africaines malgré leur formation professionnelle et technique pointues, elles constatent quelques mois après leur sortie la nécessité d’une quête de nouvelles connaissances. Le dilemme, les plus productifs ont tendance à cumuler davantage de diplômes dans plusieurs disciplines.
Pourtant les enseignements dispensés s’avèrent d’une grande efficacité. Mais le contexte dans lequel les contenus sont enseignés est purement théorique et livresque (Cf. texte : Les principes véhiculaires : http://curriculamilenara.blogspot.com). Avec les NTIC (Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication), il est impératif d’intégrer et de valoriser le talent naturel, l’auto-maîtrise et la notion de Compétence dans la recherche développement.
Babacar NDIAYE
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