Millennium Competences! Millennium Leadership's PPP (Public Private Partnerships)! Worthly, I'm neither Civil Society nor Private Sector, in fact, THE BOTH AT ONCE... For ROGIERS, " la compétence est la possibilité, pour un individu, de mobiliser de manière intériorisée un ensemble intégré de ressources en vue de résoudre une famille de situations – problèmes ".

Monday, August 29, 2005

SYRTE: enfin l'interpellation institutionnelle

Un dicton africain nous enseigne que « lorsqu’on joue du tam-tam devant des sourd-muet, il faut de temps en temps lui envoyer un coup sur le crâne. Sans quoi, il peut avoir le sentiment que vous faites des grimaces.» Objectivement, nos Chefs d’Etat et de Gouvernement des Etats membres de l’Union Africaine, à travers ce dicton, ont fait preuve d’une extraordinaire valeur panafricaniste à syrte. Pour les non-africains, vous pouvez prendre contact avec les communicateurs traditionnels (africains) pour d’amples recherches scientifiques pour ce dicton.

Ne réinventons pas la « roue de Syrte ». Notons quelques passages de la Déclaration :
« NOUS, Chefs d’Etat et de Gouvernement des Etats membres de l’Union Africaine, réunis en la cinquième (5éme) session ordinaire de notre Conférence, les 04 et 05 juillet 2005 à Syrte, en Grande Jamahiriya Arabe Libyenne Populaire Socialiste ;
(…)
RECONNAISSANS que toutes les régions du monde, dans cette ère nouvelle de globalisation, oeuvrer , dans un élan de solidarité, à la construction d’un monde de paix, de sécurité, de justice, de bonne gouvernance et de développement durable ;
(…)
SOMMES RESOLUES à faire triompher le Consensus d’Ezulwini précisant la position africaine comme sur « le développement durable, la sécurité collective, la prévention des conflits et des conditions de l’utilisation de la force, ainsi que la réforme institutionnelle de l’ONU », notamment :
(…) la démocratisation des Institutions de Bretton Woods.
(…)
Fait à Syrte le 5 juillet 2005 »

Source : Déclaration de Syrte sur la Réforme des Nations Unies

Feedback ! Que s’est il passé à Syrte ? Pourquoi les Chefs d’Etat et de gouvernement des Etats membres de l’Union Africaine réclament – ils une plus grande démocratisation des institutions de Bretton Woods ? Pourquoi les principaux bailleurs de fonds financent-ils des activités qui continuent de générer l’extrême pauvreté en Afrique ? Pourquoi de nombreux gouvernements africains acceptent-ils ces financements ? Pourquoi les opérations de développement destinées à lutter contre la pauvreté en Afrique continuent-elles de produire des effets néfastes ? Qu’est-ce qui motivent les institutions financières multilatérales dans les CSLP (Cadres Stratégiques de Lutte contre la Pauvreté) en Afrique ? Le social, l’économique ou le monétaire ? Pour ce qui me concerne, la résolution demeure l’œuvre d’une Démocratie Stratigraphique que j’avais lancée le 04 février 2000 pour ce nouveau millénaire. Cette démocratie stratigraphique est impérativement liée à une chronologie (le vécu historique), à des corrélations (le construit) et à une échelle (la continuité).

J’apprécie beaucoup les travaux du Réseau pour la Réforme des Institutions financières Internationales (constitué en 1998). Ce Réseau regroupe une trentaine d’associations françaises. Ce Réseau coordonné par Agir ICI, l’AITEC (Association internationale de techniciens, experts, chercheurs) et le CRID (Centre de Recherche et d’Information pour le Développement) travaillent aussi en partenariat avec de nombreuses associations du Sud et du Nord (Bank Information Center / USA ; Bretton Woods Project / Royaume Uni ; Center of Concern / USA ; Comité pour l’annulation de la dette du Tiers monde / Belgique ; IBASE / Brésil ; OXFAM International ; Services for All / USA ; 50 years is enough net work / USA etc..….).

Retenez qu’en 1998, je venais juste de lancer mon Document de Partenariats Stratégiques (Cf: http://worldleadership2000.blogspot.com) avec les mêmes objectifs que le Réseau pour la Réforme des Institutions Financières Internationales. Récemment, le Réseau a été reconnaissant à une observation que j’ai formulé à leur égard : intégrer dans leurs réflexions, l’impacts des Programmes Junior ou Young Professionals de ces institutions financières internationales. Par exemple en Afrique francophone, comment les jeunes générations sont intégrées dans ces programmes Junior ou Young Professionals (SNU, BM, FMI, BAD etc.…) ?

Il est aujourd’hui urgent pour les institutions nationales comme internationales de trouver un palliatif à ces interrogations :
* Comment les Jeunes générations essaient-elles de sortir de la précarité ?
* Pourquoi la précarité perdure chez les jeunes générations ?
*Comment les impliquez ?
* Est-ce qu’il faudrait limiter les jeunes entre 18 et 35 ans ?
Le droit au développement et les doits humains doivent être universels pour toutes les générations présentes et futures. Ainsi, terminons par ses propos de Jacques GRINEVALD : « Combien de générations faut-il prendre en compte ? C’est logiquement de toutes les générations à venir que l’on doit se soucier. »

Babacar NDIAYE
Actor of the Modern Civil Society


http://babacar1ndiaye.blogspot.com

Email: babacar1ndiaye@yahoo.fr
Tél: +221 5394735
B.P: 37171Dakar-Grand Yoff / SENEGAL

Réforme du Système des Nations Unies : impératif d'intégrer et d'impliquer les jeunes génerations

Est-ce que la Réforme a réellement traité les menaces de la grande précarité que vivent les jeunes ? Est-ce que les véritables acteurs ont été invités dans les réflexions ? Est-ce que la Société civile africaine, c’est uniquement les ONG (Organisation Non Gouvernementale) ? En Colombie nous avons « les chicaires », de jeunes capables de tuer pour une paire de chaussure. En Afrique, nous avons les « enfants soldats et les jeunes mercenaires à l’ouest de la Côte d’ivoire. »


Le point de départ demeure le Rapport annuel lors du 50e Anniversaire de l’ONU sous l’égide de l’ancien Secrétaire général, M.Boutros Boutros Ghali. Le grand paradoxe, les jeunes ont senti la Résolution 50/81 du Programme d’action mondial pour la jeunesse à l’horizon 2000, adopté par l’Assemblée générale (des Nations Unies) que par les mots et les phrases.

Et cette Résolution 50/81 s’inscrivait dans les dynamiques d’une envergure nationale, régionale et internationale.


Aujourd’hui, l’opérationnalisation des recommandations de l’ « Agenda pour la Paix » (Réf:"Agenda pour la Paix":A/47/227-S/24111 et le « Supplément » : A/50/60-S/1995/1) n’est pas institutionnellement vécue par les groupes vulnérables africains. Et paradoxalement, le Groupe de travail sur la mise en œuvre de l’ « Agenda pour la paix » avait tenu 82 séances à la fin juillet 1996. C’est extraordinaire !


Exceptionnellement, il y a une reconnaissance des critiques et les recommandations d’adopter l’Organisation des Nations Unies au XXIe siècle (Réf : « UN MONDE PLUS SUR : notre affaire à tous » - Rapport du Groupe de personnalités de haut niveau sur les menaces, les défis et le changement – Nations Unies / 2004). Nous avons beaucoup apprécié les consultations régionales et journées d’étude thématique du Groupe de personnalités de haut niveau.



La Société civile africaine est extrêmement complexe que des problèmes de participation se posent souvent. Qui doit participer ? Qui est véritablement acteur ? Ce qui nous poussent souvent à nous prononcer sur des questions aussi sensibles, les jeunes générations. Et pourtant dans ce même Rapport du Groupe de personnalités, c’est à la page 24 – A)- Les menaces qui nous guettent qu’une femme, lors des consultations avec la Société civile, a lancé une alerte : « Qu’avons – nous fait pour que ce qui devrait être notre plus grande richesse, devienne une menace pour notre sécurité ? » livrait-elle comme matière à réflexion.



La population carcérale dans les prisons africaines de 10 à 40 ans est en train de croître exponentiellement. Les jeunes subsahariens sont presque oubliés dans les projets et programmes de développement les concernant (SNU, BM, FMI, BAD, CEDEAO, UEMOA, Banques centrales etc.…).


Il y a des acteurs de la Société civile qui sont habilités à vraiment résoudre ces « menaces qui nous guettent ». C’est la Société civile moderniste et post-moderniste. C’est eux qui travaillent régulièrement en collaboration avec les parquetiers, les juges les avocats, les carcéralistes, les institutions, organisations et associations des Droits de l’Homme.



Dans la Deuxième Partie de l’annexe 1- Récapitulation des recommandations, toujours dans le Rapport du Groupe de personnalités cité ci-dessus, je n’ai trouvé aucune recommandation par rapport à ces « menaces qui nous guettent » ( c’est-à-dire la jeunesse). Ces questions de jeunesse risquent d’anéantir les objectifs durables de « la sécurité collective et le défi de la prévention.»


Mais alors que faire donc de l’intégration et de l’implication des jeunes générations à l’accès universel du droit au développement et des droits humains ? « La liberté de vivre à l’abri du besoin, la liberté de vivre à l’abri de la peur et la liberté de vivre dans la dignité » sont impérativement fondamentales pour le bien-être, le mieux- avoir et le mieux-vivre de la personne humaine.

World Citizens! What would you think about?

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Saturday, August 27, 2005

APPEL A CONTRIBUTION

Membre de la Société civile africaine, impliqué dans les réflexions sur le Développement Durable et la Croissance économique soutenue, je me suis toujours préoccupé de l’accès universel du droit au développement et des droits humains à tous les groupes vulnérables (africains comme ceux du monde entier).

En effet, les ressortissants de l’Afrique subsaharienne connaissent depuis les années80, une extrême précarité, particulièrement les jeunes générations orientées vers une déchéance dégradante et inhumaine de leurs conditions de vie et de leur avenir. Dans cette objectif, j'ai toujours orienté mes actions dans les meilleures pédagogies : l’approche citoyenne et l’action patriotique.

Sempiternellement,j'ai souhaité promouvoir l’esprit de partage pour un développement durable et une croissance économique viable et profitable à tous les africains. Dans le contexte actuel de la globalisation, il m'est apparu comme une exigence professionnelle de contribuer à la formation permanente des jeunes générations qui n’ont pas pu bénéficier d’une instruction suffisante voire minimale pour saisir la quintessence du savoir -être, du pouvoir- être et du vouloir- devenir.

Malgré les difficultés actuelles qu’ont les citoyens africains pour s’adonner avec quiétude à la réflexion et à l’écriture, malgré mes préoccupations professionnelles encore sur le terrain du volontariat patriotique, je tiens à faire partager mes idées et ma vision à travers cet espace.

Je serais très honoré de recevoir les analyses de citoyens du monde dans cette espace.

Cordialement.

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