Millennium Competences! Millennium Leadership's PPP (Public Private Partnerships)! Worthly, I'm neither Civil Society nor Private Sector, in fact, THE BOTH AT ONCE... For ROGIERS, " la compétence est la possibilité, pour un individu, de mobiliser de manière intériorisée un ensemble intégré de ressources en vue de résoudre une famille de situations – problèmes ".

Monday, September 26, 2005

Réforme du systéme des Nations Unies: Pourquoi l'Afrique n'a pu atteindre ses objectifs?

Réforme du système des Nations Unies : Pourquoi l’Afrique n’a pu atteindre ses objectifs ?

Conférence Annuelle Département de l’Information (DPI /ONU) – Organisations Non Gouvernementales (ONG), Promenades ou Ballades des ONG ?

Levons tout équivoque! Les ONG africaines n’ont pas les moyens de se prendre en charge pour la participation. Un Président d’ONG africaine, avec un billet d’avion mis à sa disposition, ne laissera jamais cette opportunité à son chargé de communication. L’année dernière, lors de la 57e Conférence Annuelle DPI / ONG pour la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD), j’ai uniquement confiné dans un document ma contribution et l’envoyé à l’Administration du PNUD. Depuis, j’ai adopté une position d’OBSERVATEUR.

Maintenant l’objectif de la Résolution de l’Assemblée Générale sur la Réforme des Nations Unies « d’accorder à l’Afrique deux siéges permanents et cinq siéges non permanents au sein du Conseil de sécurité » n’a pas été atteint. La dernière Conférence de l’Assemblée Générale des Nations Unies s’est tenue récemment à son siége.

A mon avis le véritable problème de l’Afrique, le débat n’a pas été suffisamment démocratisé au niveau le plus bas. Par exemple dans le Programme en instruction civique des élèves au BFEM (Brevet de Fin d’Etudes Moyennes), il y a un chapitre sur l’ONU. Pourquoi ne pas demander à l’Association des Professeurs d’Histoire et de Géographie de produire dans un document leur avis sur la Réforme du Conseil de sécurité.

De même pour les OMD, l’Afrique ne pourra les atteindre d’ici 2015. Pourquoi ne pas accorder l’assistance aux individualités et différentes composantes de la société civile et du secteur privé africains afin de produire dans un document les analyses et recommandations sur la Réforme du Conseil de sécurité mais aussi sur la Gestion et le Contrôle opérationnels de l’ONU.

Les raisons pour lesquelles j’ai adopté un statut d’Observateur peuvent être étayées dans ces quelques mots lors de la Réunion des Représentants résidents du PNUD – région Afrique de l’Ouest et du Centre, RBA (Regional Bureau for Africa) Cluster Meeting Dakar 21-25 février 2005. Lors de cette réunion, M. Albéric Kacou, Coordonnateur Résident des Activités opérationnelles du PNUD, dans son allocation, disait : « Dés lors, il semble pertinent de demander aux institutions que nous représentons, mais aussi aux gouvernements, que nous appuyons, d’être plus proactifs et plus innovateurs, pour inverser certaines tendances actuelles et pour redynamiser davantage les acquis de la coopération internationale. Dans cette perspective, il nous apparaît déterminant de privilégier une approche intégrée et multidimensionnelle de nos intervenions en vue de consolider les cadres stratégiques de développement à long terme et de mobiliser les forces vives et les partenaires au développement, autour des OMD. » Ces observations sont aussi transversales pour les Assemblées Générales du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds Monétaire International (tenues le samedi 24/09/2005 à New York), de même pour la Réunion des Ministres de l’Economies et des Finances du G7 tenue en marge (le vendredi 23/09/2005 à New York).

A l’ensemble des considérations ainsi formulées, il faut élargir le niveau du débat et permettre la contestablité à tous les acteurs africains, éviter le contexte entre élites, spécialistes ou consultants. Ensuite comme solution finale, dégager un Protocole Africain et / ou une Feuille de route pour l’exécution. A l’instar même, je continue d’adopter une position d’Observateur pour mieux vulgariser mes participations à la Recherche Développement et à la Recherche Action.

Babacar NDIAYE
African Civil Society’s Member
World Civil Society’s Member


International Email: worldleadership_2000@yahoo.fr
Adress: B.P.37171Dakar-Grand Yoff / SENEGAL

Monday, September 12, 2005

Compétences en Afrique: juger uniquement les acteurs dans leur valeur et leur volonté

Est-ce qu’il ne serait pas opportun d’emprunter les techniques de management des valeurs individuelles de la société américaine et japonaise pour résoudre la grande précarité de l’Afrique ?

De cette interrogation, faisons quelques constats. Pour les acteurs du secteur privé, de la manière qu’ils soient chefs d’entreprise ou chercheurs solitaires, ils font plus confiance à leur compétitivité et à leur productivité intrinsèques qu’à la manœuvre forcenée d’un pouvoir personnel. De la manière aussi où se manifestent plusieurs caractéristiques de la société civiles moderne, il y a de ces différentes composantes qui ne soient ni aux ordres ou d’associations connues pour leur indépendance de jugement mais qui investissent dans le partenariat économique, social et équitable pour un Développement Durable (DD) et une Croissance économique soutenue (CES).

De fait, les jeunes générations africaines malgré leur formation professionnelle et technique pointues, elles constatent quelques mois après leur sortie la nécessité d’une quête de nouvelles connaissances. Le dilemme, les plus productifs ont tendance à cumuler davantage de diplômes dans plusieurs disciplines.

Pourtant les enseignements dispensés s’avèrent d’une grande efficacité. Mais le contexte dans lequel les contenus sont enseignés est purement théorique et livresque (Cf. texte : Les principes véhiculaires : http://curriculamilenara.blogspot.com). Avec les NTIC (Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication), il est impératif d’intégrer et de valoriser le talent naturel, l’auto-maîtrise et la notion de Compétence dans la recherche développement.

Babacar NDIAYE